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Le CMS intègre Symfony pour améliorer sa modularité et son système de mise en cache. La sortie de la nouvelle version est annoncée pour l’été 2013.

Publié le 29 mai 2012, 15h00

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Lors de l’entretien qu’il nous a accordé jeudi 24 mai à l’occasion de sa venue en France, Dries Buytaert a détaillé les évolutions techniques du futur Drupal 8. Aux côté de l’intégration de HTML5 en natif, « l’évolution principale de cette nouvelle version portera sur la mobilité », a-t-il insisté.

« Drupal 8 permettra d’une part de prendre en charge des applications natives pour les mobiles, avec une intégration par le biais de Web Services RESTfull, d’autre part de bénéficier d’une expérience avancée en termes de navigateurs Web mobiles via des implémentations de HTML5 adaptées à ce type d’écran. » (lire l’interview de Dries Buytaert sur la politique produits d’Acquia publiée sur JDN Solutions, dans laquelle il aborde les évolutions fonctionnelles de Drupal 8).

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Dries Buytaert est créateur de Drupal, et directeur technique et fondateur de la société de services Acquia. © Acquia

Sous le capot, la principale évolution de Drupal 8 concerne sonrapprochement avec le framework PHP français Symfony. « Nous avons beaucoup travaillé sur le sujet avec Sensio Labs, et les équipes de Fabien Potencier », explique Dries Buytaert. « Symfony a été choisi car il s’agit d’une infrastructure PHP robuste, sans doute l’une des plus robustes dans le monde. »

Dans le cadre de Drupal 8, une partie de l’infrastructure sur laquelle est bâtie le cœur du gestion de contenu Web (qui comprend également 40 modules de base) est réécrite pour s’appuyer sur Symfony. Le framework Open Source a pour but d’apporter trois dimensions:

L’injection de dépendance en vue notamment de renforcer la modularité du CMS grâce à une gestion dynamique des dépendances entre classes,

La possibilité de gérer la mise en cache d’une page Web par blocs avec le composant ESI de Symfony. L’objectif est par exemple de se donner la possibilité de laisser une partie d’une page se générer dynamiquement sans être mise en cache. « Jusqu’ici, Drupal mettait en cache l’intégralité de la page, ce qui n’était pas toujours adapté aux sites fortement personnalisés », commente Dries Buytaert.

Les Web Services seront désormais gérés via Symfony, notamment en vue de mieux mettre en œuvre les interactions avec les applications mobiles natives. « Drupal gère déjà des Web Services Rest, mais Symfony prend en charge cette interface de manière plus élégante. Cet aspect permet également d’améliorer la modularité du framework », commente Dries Buytaert.

Un CMS complexe et gourmand en ressources : Dries Buytaert répond aux critiques

Mais, l’intégration de Symfony ne recouvre pas seulement des questions techniques. Elle rejoint aussi des besoins en matière de compétences. « Elle permettra en effet à l’écosystème d’attirer de nouveaux développeurs, en provenance de la communauté Symfony. C’est d’autant plus important dans la mesure où le monde Drupal manque de compétences », reconnait Dries Buytaert.

A la question de la complexité de prise en main de Drupal, Dries Buytaert répond en mettant en avant la capacité du CMS à répondre aux projets de site Web complexe. « Plus riche et complexe fonctionnellement que WordPress, Drupal a été d’emblée orienté vers le collaboratif. Il peut donc être utilisé comme un intranet, mais aussi comme un site Web avec des milliers d’internautes publiant du contenu simultanément », rappelle-t-il.
D’où la nécessité d’un système de gestion de contenu lui même plus complexe, mais aussi un CMS plus extensible et donc également plus gourmand en ressources (une autre critique généralement formulée à l’encontre de Drupal). « C’est une question d’équilibre à trouver entrescalability et performance », note Dries Buytaert, avant d’évoquer l’existence de sites Web à très fort volume de trafic, reposant sur Drupal, comme le site de la Maison Blanche ou un site atteignant plus d’un milliard de pages vues par mois (et dont Dries Buytaert préfère taire le nom).

En savoir plus

Enfin, Drupal 7 repose sur PHP 5.3. « Dans Drupal 8, nous mettons en œuvre les namespaces. Cela permet d’éviter les conflits de nommage, et donc de mieux structurer et organiser son code », explique le créateur de Drupal. Confirmant la vision de Xavier Lacot, président de l’AFUP, Dries Buytaert indique aussi que les namespaces représentent aussi par conséquent un levier pour mieux travailler ensemble au sein de la communauté, en facilitant le partage de codes.

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Voici un premier short-film Paella http://bsff.be/films-concours/15859/ N’oubliez pas de liker!!!

Paella
Réalisateur: Eric Koninckx

Belgique – 2013 – 4’28

Sophie est excitée à l’idée de revoir un homme, Adonis, qu’elle a rencontré dans un bar. Elle a des doutes sur ses intentions et va consulter son thérapeute en urgence. Pendant ce temps, Adonis prépare une paella avec un raffinement particulier.

http://bsff.be/films-concours/15859/

Et un deuxième: Le plant de tomates. http://bsff.be/films-concours/le-plant-de-tomates/ N’oubliez pas de liker!!!

Le plant de tomates
Réalisateur: Eric Koninckx

Belgique – 2013 – 6’53

Un baba cool se trouve au milieu d’un carrefour, assis sur une brouette en contemplant un plant de tomates. Un policier pas comme les autres le remarque, et se dirige tranquillement vers celui-ci.

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L’actualité du Web et des nouvelles technologies en ligne: Top 10

Voici une présentation non exhaustive des meilleurs magasines en ligne de technologie numérique.

Presse-citron: l’actualité du Web et des nouvelles technologies

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20 Minutes.fr L’actualité des technologies et du Web

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The e-Jobs Observatory

e-Jobs, e-Skills and e-Competencies

e-Jobs Observatory for e-jobs, e-skills and e-competencies - JL GestionJL Gestion has just been labeled by the e-Jobs Obseratory for its excellence in e-jobs, e-skills and e-competencies. Congrats to us!!

The e-Jobs Observatory is a European stakeholder network actively and continuously working on the:

  • improvement of training quality for eJobs;
  • lobbying for the creation of European training standards for eJobs;
  • identifying e-job market needs and training gaps;
  • promotion of Job Role Profiles and Training Guidelines developed within the various projects initiated under its umbrella.

The e-Jobs Observatory is supported by an international network of Industry and training organizations.

 Contacts

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1081 Bruxelles
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Google Analytics: indispensable pour les entreprises

A l’heure actuelle, une présence sur Internet est indispensable pour toute entreprise. Google Analytics offre de vastes possibilités en matière d’analyse d’audience d’un site Web. L’e-commerce, le SEO ou la présence sur les réseaux sociaux peuvent être améliorés grâce à cet outil de Web Analytics.

Qu’est-ce que Google Analytics?

Google AnalyticsHérité de la technologique d’Urchin que Google a racheté en 2005, Google Analytics est un puissant outil de Web Analytics pensé pour analyser le trafic d’un site. Les pages Web doivent être marquées, ou tagguées, pour que les données apparaissent dans des rapports et tableaux de bord préconfigurés mais aussi personnalisables. Source du trafic, conversions réalisées, terminaux mobiles utilisés par les visiteurs, optimisation du référencement naturel, réseaux sociaux font partie de la multitude d’indicateurs nativement proposés.

Grâce à son installation et son utilisation, les propriétaires de sites Web sont désormais en possession de centaines de statistiques sur le comportement de leurs visiteurs : nombre de pages vues, temps passé par page, taux de rebond, provenance de la connexion…pour n’en citer que les plus connus.

Car le « comportement » est la clé de l’utilité de Google Analytics. Il n’est pas un simple compteur du nombre de visiteurs mais véritablement un outil marketing puissant pour l’analyse et la compréhension de ce que font les visiteurs sur un site. Une arme stratégique à part entière dans le développement d’une activité sur le Net.

Les outils de Google Analytics

Explorez vos données en détail. Les rapports standards vous permettent d’analyser l’intérêt des internautes pour votre site et la façon dont ils interagissent avec ce dernier. Et ce n’est pas tout : quelques clics suffisent pour créer des rapports personnalisés, des segments de visiteurs, ou encore identifier les données importantes à partager avec votre équipe.
Google Analytics
Explorez vos données en détail. Les rapports standards vous permettent d’analyser l’intérêt des internautes pour votre site et la façon dont ils interagissent avec ce dernier. Et ce n’est pas tout : quelques clics suffisent pour créer des rapports personnalisés, des segments de visiteurs, ou encore identifier les données importantes à partager avec votre équipe.

Création de rapports en temps réel

Evaluez l’activité de votre site au moment même où elle a lieu

Découvrez le nombre d’internautes présents sur votre site en temps réel, depuis quelle page ils y ont accédé, ou encore quel contenu ils consultent. Grâce aux rapports en temps réel, vous pouvez savoir si votre nouveau contenu est apprécié ou si la promotion du jour génère du trafic vers votre site. Vous pouvez même évaluer les effets immédiats des tweets et des articles de blog.

Le rapport « Temps réel » vous permet de surveiller l’activité des visiteurs au moment même où elle se produit sur votre site ou dans votre application. Les rapports de cette section sont mis à jour en permanence et chaque page vue est signalée quelques instants après la consultation de la page en question sur votre site. Par exemple, cette fonctionnalité vous permet d’obtenir les renseignements suivants :

– Le nombre de personnes présentes sur votre site en ce moment mêmeGoogle Analytics sur les appareils mobiles

– Leur situation géographique et les sources de trafic d’où elles proviennent

– Les pages ou les événements avec lesquels elles interagissent

– Les conversions par objectif qui se sont produites

Grâce au rapport « Temps réel », vous pouvez surveiller de façon immédiate et continue l’impact des nouvelles campagnes et des modifications du site sur votre trafic. Voici quelques-unes des actions que vous pouvez effectuer par le biais de cette fonctionnalité:

– Déterminer si les visiteurs consultent un contenu que vous venez de créer ou de modifier sur votre site

– Comprendre l’utilisation de votre application pour mobile via le suivi des événements

– Observer si une promotion sur une journée génère du trafic vers votre site ou votre application, et identifier les pages consultées par ces visiteurs

– Constater les effets immédiats, sur le trafic, d’un tweet ou d’un message publié sur un blog ou un réseau social

– Vérifier si le code de suivi fonctionne sur votre site ou dans votre application

– Surveiller les objectifs réalisés lorsque vous testez des modifications apportées à votre site

Accéder aux données en temps réel

Le rapport « Temps réel » est disponible dans tous les comptes Google Analytics. Aucune modification du code de suivi n’est nécessaire.

Pour consulter les données en temps réel, accédez à l’onglet « Rapports » et sélectionnez Temps réel dans la colonne de navigation de gauche.

Statistiques relatives aux visiteurs actifs

Google AnalyticsDans les rapports « Temps réel », un visiteur actif est un internaute ayant déclenché un événement ou généré une page vue au cours des cinq dernières minutes. Comme vous pouvez le constater, les données obtenues diffèrent des statistiques générées par les rapports standards, dans lesquels une session est définie sur la base de 30 minutes.

Rapport « Temps réel » et vues

Le rapport « Temps réel » reflète les données de votre vue. Si vos données semblent incorrectes, identifiez les filtres appliqués à la vue. Lors de la mise en œuvre du débogage du code de suivi, veillez à utiliser une vue non filtrée.

N’oubliez pas que quelques heures peuvent s’écouler avant que les modifications apportées aux vues ne soient reflétées dans les rapports « Temps réel ». Nous nous efforçons de réduire ce laps de temps.

Rapport « Temps réel » et suivi des applications pour mobile

Les vues d’applications et les événements sont compatibles avec les rapports « Temps réel ». Vous avez donc la possibilité d’examiner, en temps réel, le trafic généré par le SDK pour mobile. Vous pouvez vous servir de cette fonctionnalité comme d’un outil de débogage complet et performant pour la mise en œuvre de votre SDK Google Analytics.

Par exemple, vous pouvez installer une nouvelle version de votre application sur votre téléphone et vérifier si les appels de fichiers depuis un mobile pour cette version s’affichent en temps réel lorsque vous interagissez avec elle. Notez que sur un mobile, les appels de fichiers sont regroupés afin d’économiser la batterie. Vous pouvez donc constater des retards d’affichage. La fréquence des regroupements est généralement de l’ordre de quelques minutes.

Rapports personnalisés : définissez les informations à analyser

Créez vos propres tableaux de bord statistiques en quelques minutes. Cela vous permet d’accéder directement aux réponses que vous recherchez, sans perdre de temps à parcourir toutes les données. Créez des rapports à partager avec vos collaborateurs et affichez les données qui les intéressent.

Illustration Google AnalyticsUn rapport personnalisé est un rapport que vous créez vous-même. Vous sélectionnez les variables (« Ville » et « Navigateur », par exemple) et les statistiques (« Visites », « Pages vues » et « Taux de rebond », par exemple) et décidez de la façon de les présenter. Pour accéder à vos rapports personnalisés, cliquez sur l’onglet Personnalisation. Ils apparaissent dans le panneau de navigation de gauche, dans la section Rapports personnalisés. Si vous n’en avez pas encore créé, la section « Rapports personnalisés » ne contient que l’entrée « Vue d’ensemble ».

Pour créer un rapport personnalisé, cliquez sur l’onglet « Personnalisation », puis sélectionnez « Vue d’ensemble » sous « Rapports personnalisés » dans le panneau de navigation de gauche. Cliquez sur + Nouveau rapport personnalisé pour créer un rapport. Pour en savoir plus, consultez l’article Créer des rapports personnalisés.

Pour modifier ou supprimer un rapport personnalisé existant, cliquez sur l’onglet « Personnalisation », puis sélectionnez « Vue d’ensemble » sous « Rapports personnalisés » dans le panneau de navigation de gauche. Vous pouvez modifier ou supprimer les rapports existants à partir de la vue d’ensemble. Consultez la page Gestion de rapports personnalisés pour en savoir plus.

À propos des variables et des statistiques dans les rapports personnalisés

Pour créer un rapport personnalisé, vous devez définir au moins une variable et une statistique. Les variables correspondent à une façon de décrire les visites, les visiteurs, les pages, les produits et les événements. Voici quelques exemples de variables : « Type de visiteur » (visiteurs nouveaux ou connus), « Source » (nom d’un moteur de recherche ou site Web référent), « Titre de la page » (titre HTML d’une page sur votre site) et « Code produit » (référence d’un produit acheté sur votre site).

Les statistiques correspondent aux mesures chiffrées. Par exemple, « N pages vues et N transactions de nouveaux visiteurs et N pages vues et N transactions de visiteurs connus ont été générées ». Les pages vues et les transactions correspondent aux statistiques et le type de visiteur représente la variable.

Variables personnalisées : créez et analysez vos propres segments personnalisés

Les variables personnalisées vous permettent de mieux comprendre vos segments de visiteurs et d’évaluer l’intérêt des internautes pour votre site. Grâce aux variables personnalisées, vous pouvez personnaliser Google Analytics et collecter les données relatives aux internautes qui revêtent le plus d’importance pour votre entreprise.

Le rapport « Variables personnalisées » affiche l’activité des visiteurs en fonction des segments personnalisés que vous créez vous-même en modifiant le code de suivi Google Analytics.

Illustration Google Analytics

Imaginons que votre site inclue un formulaire dans lequel les visiteurs peuvent indiquer leur fonction professionnelle (directeur, spécialiste technique ou responsable marketing, par exemple). Vous pouvez alors utiliser le suivi personnalisé des visiteurs afin de stocker leurs sélections. Celles-ci deviennent des critères personnalisés pour ce rapport, et les visites ultérieures restent classées dans le segment sélectionné.

Segmentation avancée : analysez facilement des sections spécifiques de votre trafic

Pourquoi certaines visites génèrent-elles des ventes de 150 euros et d’autres aucune ? Pour le savoir, utilisez les segments avancés. Ceux-ci vous permettent d’appliquer des segments prédéfinis, tels que « Visites avec conversion » ou « Trafic généré par les résultats naturels », ou encore de créer vos propres segments. Analysez des segments spécifiques ou comparez plusieurs segments dans tous vos rapports.

Le nouvel outil de création de segments vous permet de créer des segments en fonction des visites et des internautes.

Les données relatives à la visite (par exemple, les objectifs réalisés ou les revenus générés) se limitent au comportement de l’internaute au cours d’une seule visite.

Les données relatives à l’internaute (par exemple, les objectifs réalisés ou les revenus générés) couvrent toutes les visites effectuées pendant la période que vous avez définie (jusqu’à 90 jours).

Vous pouvez créer des segments à partir de variables, de statistiques, de dates de visite et de séquences d’actions.

Exemple : Internautes spécifiques, toutes les visites au cours d’une période donnée

Filtrer les internautes sans filtrer les visites

Vous pouvez, par exemple, filtrer les internautes ayant généré un revenu cumulé supérieur à 1000 € ou ceux qui ont consulté une page produit, puis le panier, mais pas la page de confirmation de la commande au cours de l’ensemble de leurs visites pour une période donnée.

Exemple : Tous les internautes, des visites spécifiques au cours d’une période donnée

Filtrer les visites sans filtrer les internautes

Filtrer les visites effectuées par n’importe quel internaute et générées par un mot clé ou une campagne spécifiques, ou générées par une campagne spécifique ET ayant permis de remplir un objectif.

Exemple : Internautes et visites spécifiques au cours d’une période donnée

Filtrer à la fois les visites et les internautes

Filtrer les internautes ayant généré, au cours de l’ensemble de leurs visites, un revenu cumulé supérieur à 1000 €, ainsi que les visites ayant permis de remplir un objectif ; filtrer les internautes provenant du sud de la France et les visites facturées au CPC.

La flexibilité de ce nouvel outil vous offre les avantages suivants :

– Conserver la pertinence et poursuivre la création des types de segments basés sur les visites que vous connaissez déjà dans Google Analytics

– Créer de nouveaux segments basés sur les internautes pour analyser le comportement de ces derniers pendant plusieurs sessions
– Comparer les données relatives aux visites et aux internautes quand vous le souhaitezVous pouvez définir une période maximale de 90 jours pour les segments basés sur les internautes.Si vous avez déjà défini une période plus longue, celle-ci est automatiquement rétablie à 90 jours à partir de la date de début lorsque vous créez un segment basé sur les internautes dans Google Analytics.

Tableaux de bord : organisez, surveillez et partagez les indicateurs clés de performance (KPI)

Commencez par créer un tableau de bord « Vue d’ensemble des KPI » incluant les indicateurs de performance les plus importants pour votre entreprise. Créez ensuite un tableau de bord « SEO » pour vos initiatives d’optimisation du référencement. Tous les tableaux de bord proposent la fonctionnalité de glisser-déposer. Ils sont tous basés sur des widgets et sont parfaitement personnalisables.

Google Analytics segments

Les tableaux de bord vous offrent un aperçu des performances de vos propriétés via une page unique reprenant des résumés de différents rapports sous forme de widgets. Avec un tableau de bord, vous pouvez surveiller plusieurs statistiques en même temps. Vous pouvez ainsi vérifier rapidement la santé de vos comptes ou établir des corrélations entre les différents rapports.

Pour consulter et gérer vos tableaux de bord, utilisez le menu Tableaux de bord sur la gauche, sous l’onglet Accueil.

Chaque vue de votre compte Google Analytics affiche un tableau de bord par défaut pré-rempli avec quelques widgets. Vous pouvez ajouter de nouveaux widgets à un tableau de bord en cliquant sur Ajouter au tableau de bord en haut de chaque rapport ou en cliquant sur + Ajouter un widget depuis le menu des tableaux de bord. Vous pouvez également personnaliser ou supprimer n’importe quel widget du tableau de bord, y compris les widgets par défaut qui sont affichés automatiquement dans votre compte. Cliquez sur l’icône en forme de roue dentée dans l’angle supérieur de chaque widget afin de consulter les options de personnalisation.

Vous pouvez créer jusqu’à 20 tableaux de bord. Chaque tableau de bord peut contenir jusqu’à 12 widgets. Les tableaux de bord ne sont disponibles que dans la vue dans laquelle vous les avez créés. Pour les partager et les rendre disponibles dans un autre contexte, utilisez le menu Partager dans la barre d’action.

Visualisation : découvrez le chemin qu’empruntent les visiteurs sur votre site

Google Analytics propose toute une gamme d’outils de visualisation performants, tels que la visualisation de la navigation et l’analyse des pages Web. Les rapports Visualisation de la navigation analysent le chemin emprunté par les visiteurs sur votre site. Quant au rapport Analyse des pages Web, il permet d’évaluer visuellement comment les internautes interagissent avec vos pages. Pour faciliter votre analyse, nous avons intégré différents graphiques qui vous permettent d’afficher les données à votre convenance.

Google Analytics segments

Partage : une collaboration ouverte à tous

La prise de décision basée sur les données est optimale lorsque le partage des informations entre équipes est facilité. Avec les outils de partage de Google Analytics, l’équipe responsable de l’achat de mots clés et celles chargées du SEO et du contenu peuvent collaborer efficacement. Utilisez la fonctionnalité Alertes pour identifier les variations inattendues et en informer vos collaborateurs.

Vous pouvez également leur signaler les événements clés enregistrés dans l’historique de votre compte.

Enfin, élaborez et partagez des tableaux de bord personnalisés, affichant les statistiques importantes pour votre entreprise.

API et personnalisation : mettez en forme vos données comme vous le souhaitez

Des applications, des plug-ins et des fonctionnalités personnalisables vous permettent d’intégrer Google Analytics dans les flux de travail de votre entreprise. Tirez parti de solutions tierces ou créez vos propres applications à l’aide de l’ API Google Analytics.

Trois API Google Analytics sont mises à la disposition de tous les utilisateurs :

L’API de collecte : personnalisez le code de suivi pour aller au-delà du suivi normal. Collectez les données sur les achats pour votre site, générez des rapports sur deux sous-domaines pour une même vue, créez vos propres définitions du type de visiteurs, etc.

L’API de gestion : accédez de façon efficace aux données du compte et de la vue Google AnalyticsGoogle Analytics sous forme de flux d’API de données Google. Grâce à l’API de gestion, vous pouvez récupérer un ensemble spécifique de vues pour un utilisateur ou récupérer les données de définition des objectifs associées à une vue spécifique. Enfin, combinez l’API de gestion avec l’API d’exportation pour extraire les données de rapport dont vous avez besoin.
 
L’API d’exportation des données : créez des applications à l’aide des données Google Analytics déjà disponibles dans un compte Google Analytics. Les applications peuvent exploiter l’API pour demander des données au niveau des rapports à partir d’une vue Google Analytics existante (si elles sont autorisées à accéder aux données de la vue) et récupérer un rapport de données personnalisé pour une vue donnée.

Étant donné que l’utilisation des API Google Analytics requiert un savoir-faire technique, nous conservons toute la documentation technique sur Google Code Analytics, à l’intention des développeurs.

Sources

Sébastien François:

Contacts

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JL Gestion SA

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 Lille

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59042 Lille Cedex
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Site: http://www.jlgestion.fr

Big Data!!

Le Big Data est une opportunité historique pour les entreprises, du moins en théorie, en pratique la mise en place de systèmes analytiques permettant de faire sens des données est encore insuffisante.

Introduction

Inexorable, l’explosion des volumes de données est en marche. Et avec elle, celle des besoins de rapidité et d’efficacité des traitements. Mais quels sont les enjeux de ce qu’il est convenu d’appeler le “Big Data” et les entreprises sont-elles prêtes à y faire face ?

Big Data

Le Big Data: qu’est-ce que c’est?

Avant de définir le Big Data, il est essentiel de dire ce qu’il n’est pas. « Big Data is NOT a bigger data warehouse » (Paul Doscher, LucidWorks). Autrement dit, le Big Data, ce n’est pas des data centers toujours plus gros pour stocker toujours plus de données.

L’expression “Big Data” (ou grosse donnée, ou données volumineuses) est apparue pour la première fois en 2008 : elle a émergé car la quantité de données à traiter ces dernières années est sans équivalent avec ce qui se passait il y a seulement 10 ans et augmente de manière explosive.

Sans que tous les chiffres avancés soient aussi spectaculaires, les observateurs s’accordent à constater une croissance exponentielle des volumes de données, liée à un besoin de numérisation à tout crin des documents en tous genres : les entreprises capturent désormais quotidiennement des milliards de milliards d’octets dans tous les domaines, depuis des données clients ou fournisseurs jusqu’aux données opérationnelles ou contractuelles, sans oublier les millions de capteurs disséminés à travers tous les réseaux, dans des unités embarquées dans les véhicules ou les téléphones mobiles, qui eux-mêmes recueillent, transforment, créent et communiquent des données.

Selon IDC, l’univers numérique devrait être multiplié par un facteur 44 en 10 ans et passer de 0,9 à 35,2 Zo (zettaoctets, soit 1021 octets). L’idée de cet article n’est cependant pas de vous abreuver de chiffres, comme cela a déjà été fait dans l’abondante littérature déjà disponible sur le sujet, mais de tenter de cerner les implications du Big Data (ou données volumineuses) pour les décideurs en entreprise.

 Facteurs expliquant le Big Data

Il existe 3 facteurs principaux permettant d’expliquer le développement du Big Data:

 1. Le coût du stockage

Celui-ci ne cesse de diminuer et constitue de moins en moins un critère pertinent pour les entreprises. Les solutions de Cloud Computing permettent en outre une gestion des données élastique et en fonction des besoins réels des entreprises.

2.Les plateformes de stockage distribuées et les réseaux à très haut débit (THD)

Big DataAvec le développement du THD et l’avènement du Cloud Computing, le lieu de stockage des données n’a plus vraiment d’importance. Elles sont désormais stockées à des endroits physiques distincts, et parfois non identifiés. Ainsi, quel utilisateur sait où se trouvent réellement ses photos postées sur Facebook ou ses messages sur Google Mail?

3. Les nouvelles technologies de gestion et d’analyse de données

Parmi ces solutions technologiques liées au Big Data, l’une des références est la plateforme Hadoop (Apache Foundation) permettant le développement et à la gestion d’applications distribuées adressant des quantités de données énormes et évolutives.

Les sources et les types de production de données

1. Les applications et services professionnels

Il s’agit des logiciels de gestion tels que les ERP, CRM, SCM, les outils de production de contenu et de bureautique ou les intranets, etc. Même si ces outils sont connus et largement maîtrisés par les entreprises, Microsoft a reconnu en son temps que la moitié des contenus produits via la suite Office échappent à tout contrôle et ne sont donc pas valorisés.

Ce phénomène a connu un nouveau rebond avec l’irruption du courrier électronique. 200 millions d’e-mails sont ainsi envoyés chaque minute.

2. Le Web

Sites d’actualité, d’e-commerce, gouvernementaux ou issus du monde associatif, enInternet investissant le Web, les entreprises et organisations y ont créé un volume considérable d’informations et suscité des interactions toujours plus nombreuses, rendant nécessaires le développement des annuaires et moteurs de recherche, ces derniers créant eux mêmes d’innombrables données issues des requêtes des internautes.

3. Les médias sociaux

Social MediaEn fournissant à la foule des outils d’expression (crowdsourcing), le Web 2.0 est à la base de la croissance phénoménale du volume de données produites ces dix dernières années: Facebook, YouTube et Twitter bien-sûr, mais aussi les blogs, les plateformes de partage comme Slideshare, Flickr, Pinterest ou Instagram, les flux RSS, les réseaux sociaux d’entreprises comme Yammer ou BlueKiwi, etc.

Chaque minute, plus de 30 heures de vidéo sont uploadées sur YouTube, 2 millions de posts sont publiés sur Facebook et 100.000 tweets diffusés sur Twitter.

4. Le mobile

Comme le précise IBM, le mobile n’est pas un terminal. Le mobile, c’est les données. Il y Mobile devicesa aujourd’hui 4 fois plus de téléphones mobiles en usage que de PC et tablettes. Un utilisateur mobile « standard » a 150 interactions quotidiennes avec son smartphone, notamment pour les messages et les interactions sociales. Combiné aux médias sociaux et aux services de Cloud Computing, le mobile s’est imposé comme le premier média personnel de masse.

A la fin 2013, l’App Store de Apple et Google Play auront dépassé les 50 milliards d’applications téléchargées.

5. Les objets

Le mobile a ouvert la voie à l’Internet des Objets (IOT). Chaque objet du quotidien, équipé de capteurs, dans nos maisons ou dans l’industrie, est désormais un terminal digital potentiel, capturant et émettant des données en permanence. Le géant industriel General Electric met en place des capteurs intelligents sur la plupart de ses produits, des équipements électriques de base aux turbines en passant par des scanners médicaux.

Les données opérationnelles recueillies sont analysées pour permettre d’améliorer les services, d’en développer de nouveaux ou de minimiser les temps d’arrêts. Grâce aux analytics, le fonctionnement des machines fait désormais l’objet d’adaptations en temps réel. Le Big Data ouvre ainsi les portes de l’Internet de l’industrie.

On peut d’autre part envisager deux grandes catégories de données:

1. Les données structurées

Ce sont les données que l’on peut facilement organiser par rangées et colonnes, et qui sont traditionnellement gérées dans des bases de données. Il s’agit notamment des données liées au fonctionnement habituel des entreprises et organisations (stocks, comptabilité, finances, ressources humaines, statistiques, études scientifiques, …)

2. Les données non structurées

Déjà présentes sous la forme de la production bureautique non organisée, ces données se multiplie de manière exponentielle et incontrôlable avec les plateformes de crowdsourcing, le mobile et l’Internet des objets. Par leur volume, leur vitesse d’acquisition et la variété de leurs formats, elles nécessitent de nouveaux outils pour leur stockage, leur traitement et leur analyse. C’est à leur développement que correspond la naissance du Big Data.

Les 6 « V » du Big Data

Pour les analystes du Gartner, le concept de Big Data recouvre 3 dimensions: volume, vélocité et variété. IBM, qui a fait du Big Data une priorité majeure, a ajouté un 4ièm « V »: la véracité. Avec la visibilité et la valeur, un 5ème et un 6ème « V » sont de plus en plus pris en compte pour expliquer le Big Data.

1. Volume

Le volume est évidemment la première caractéristique qui vient à l’esprit quand on parle de Big Data.

Suivant une courbe exponentielle, ce volume concerne non seulement les données produites chaque jour, mais aussi celui des capacités de stockage des supports informatiques. Il tend aujourd’hui vers l’infini et nécessite des unités de mesure vertigineuses comme le yottabyte qui équivaut à 1.000.000.000.000.000.000.000.000 de bytes, soit un trillion de terabytes. Il est évident que les bases des données et outils de gestion traditionnels ne sont pas capables de gérer de telles quantités de données.

2. Vitesse (Velocity)

La vitesse du Big Data représente le temps nécessaire pour que les données soient collectées, traitées et activées par l’entreprise.

Le monde digital est désormais « plus rapide que le temps réel » et les données n’échappent à cette tendance. Elles sont produites, capturées, traitées, et partagées à une vitesse inédite. Comme l’a justement remarqué Rupert Murdoch :

« The world is changing very fast. Big will not beat small anymore. It will be the fast beating the slow ».

Une entreprise de services financiers doit ainsi traiter et analyser plusieurs millions de messages par seconde pour activer ou non des ordres sur les marchés. Le temps réel est donc la nouvelle unité de temps pour les entreprises et les systèmes classiques de traitement des informations (gestion, personnalisation, marketing, …) se révèlent là encore peu adaptés.

Les 4 "V" du Big Data

3. Variété

La montée en puissance des données non structurées va de pair avec un diversification des formats et des types de données.

L’entreprise doit donner du sens aux avis et propositions émis sur Facebook, aux images, aux sons, aux vidéos, mais aussi aux informations émises par les terminaux mobiles ou issues des interactions M2M (Machine To Machine).

Dans le domaine du commerce, des solutions Big Data permettront de relier les données non structurées émises par un client (comportement, intonations de la voix, …) aux données classiques enregistrées à son sujet (historique des achats, service après-vente, …) pour développer en temps réel une offre adaptée à ses besoins.

TerraEchos a ainsi développé un système très sophistiqué pour classer les sons. Celui-ci permet un contrôle intelligent et en direct pour un périmètre donné, équipé de milliers de capteurs. Ceux-ci recueillent les sons détectés qui sont organisés et analysés pour déclencher des actions appropriées (envoi d’un garde, activation d’une caméra, …) sur base de modèles à la fois prédéfinis et évolutifs.

4. Véracité

La qualité et la fiabilité des données est clairement un paramètre essentiel.

C’est d’autant plus vrai que les sources de données sont désormais majoritairement hors du périmètre de contrôle des organisations. Le concept de véracité traduit donc le besoin stratégique de disposer de données de qualité.

En principe, une plateforme Big Data permet à une entreprise d’analyser les données relatives à son environnement de manière quasi exhautive et donc d’améliorer sa compréhension de l’ensemble des composants de son environnement (clients, partenaires, produits, concurrents, …). Mais paradoxalement, l’entreprise est confrontée au risque de se noyer dans cet océan de données et de ne pas être capable de faire le tri entre les informations pertinentes et le « bruit ».

Une bonne illustration de ce problème est survenue lors de l’élection présidentielle de 2012 au Mexique, des tweets issus de robots spammeurs et des faux comptes « orientés » ont largement pollué débat politique et son analyse sur Twitter.

5. Visibilité

Les données ne servent à rien si elles ne sont pas visibles et accessibles pour ceux qui en ont besoin. Ce besoin de visibilité est souvent évoqué par les marketers qui souhaitent disposer de tableaux (dashbords) et visualisations intelligents, accessibles à la volée et facilement interprétables.

C’est l’objectif de la solution proposée par CaptainDash qui permet de monitorer, comprendre et optimiser les processus sur base de données factuelles et visuelles. Toutes les informations nécessaires sont accessibles via une interface mobile et véritablement intuitive.

6. Valeur

En bout de course, la valeur du Big Data pour une entreprise se mesurera à l’avantage compétitif qu’elle en aura dégagé.

Cela dépend notamment de la qualité des analytics et de la compétence des « data scientists » chargés de leur donner du sens. Créer des données pour le plaisir de la performance technique n’est pas viable sur le long terme. Cela implique donc également des outils de mesure du ROI.

Big Data

Les usages du Big Data

Les usages du Big Data sont infinis, mais quelques domaines majeurs émergent. Comprendre le client et personnaliser les services, c‘est l’une des applications évidentes du Big Data.

En captant et analysant un maximum de flux de données sur ses clients, l’entreprise peut non seulement dégager des profils génériques et concevoir des services spécifiques, mais aussi personnaliser ces services et les actions marketing qui y seront associées. Ces flux intègrent les données « classiques » déjà organisées via des systèmes de CRM, mais égalements les données non structurées issues des médias sociaux ou de capteurs intelligents capables d’analyser le comportement des clients sur le lieu d’achat.

L’objectif est de dégager des modèles susceptibles de prévoir les besoins des clients afin de leur fournir des services personnalisés en temps réel. On parle dès lors de segmentation attidudinale. Avec la quantité infinie de données qu’il collecte à notre sujet, Google est évidemment un acteur incontournable en la matière.

Ces modèles seront utilisés dans tous les secteurs d’activités, depuis les grandes enseignes commerciales pour améliorer et personnaliser les offres, notamment dans l’e-commerce, en passant par les assurances qui seront adaptées à chaque cas particulier ou encore au monde politique pour lequel la capacité à « interpréter » les souhaits des électeurs est depuis toujours une chimère.

Optimiser les processus business

Le Big Data va également impacter fortement les processus business.

Big DataDes processus complexes tels que la Supply Chain Management (SCM) seront optimisés en temps réel en fonction de prévisions issues de l’analyse des données des médias sociaux, des tendances d’achats, de la circulation routière ou des stations météorologiques.

Un autre exemple concerne la gestion des ressources humaines, depuis le recrutement jusqu’à l’évaluation de la culture d’entreprise ou la mesure de l’engagement et des besoins du personnel.

Améliorer la santé et optimiser les performances

Le Big Data va considérablement affecter les individus. Cela passe tout d’abord par le phénomène du « Quantified Self », c’est-à-dire la capture et l’analyse des données relatives à notre corps, notre santé ou nos activités, via le mobile, les « wearables » (montres, bracelet, vêtements, lunettes, …) et plus généralement l’Internet des Objets. L’évolution des sites de rencontre passera également par l’utilisation d’algorithmes sophistiqués basés sur l’analyse de profils sociaux beaucoup plus riches et complexes.

Le Big Data va permettre des avancées considérables dans des domaines tels que le décodage de l’ADN ou la prédiction des épidémies ou la lutte contre des maladies encore incurables comme le Sida. Avec les modélisations basées sur des quantités de données infinies, les essais cliniques ne seront plus limités par la taille des échantillons.

Dans le domaine du sport, on peut citer l’exemple d’IBM aqui a développé SlamTracker pour le Tennis. Grâce aux captures vidéo et à l’analyse des données liées, il est possible d’améliorer la préparation d’un match en analysant le jeu d’un adversaire sur base de paramètres inédits.

Autre exemple remarquable, la victoire de l’Oracle Team USA lors de la fameuse compétition de l’America’s Cup, ou comment 300 senseurs et 3000 variables ont permis un incroyable retournement de situation.

Rendre les machines intelligentes

Le Big Data va rendre les machines et terminaux les plus divers plus intelligents et plus autonomes.

AI Big DataAvec la multiplication à l’infini des capteurs sur les équipements domestiques, professionnels et industriels, le Big Data appliqué au M2M (Machine to Machine) va offrir de multiples opportunités pour les entreprises qui investiront ce marché.

Les voitures intelligentes illustrent ce phénomène. Elles génèrent déjà d’énormes quantités de données qui peuvent être exploitées pour optimiser l’expérience de conduite ou les modèles de taxation. Les voitures intelligentes seront en mesure d’échanger entre elles des informations en temps réel et d’optimiser leur utilisation en fonction d’algorithmes spécifiques.

Grâce aux capteurs équipant son matériel agricole, John Deere permet aux entreprises agricoles d’améliorer la gestion de leur flotte, de réduire les temps d’arrêt et d’économiser le carburant. Le système est basé sur le croisement des données en temps réel et historiques relatives à la météo, les conditions du sol, les caractéristiques des cultures, etc.

De même, les maisons intelligentes seront des contributeurs majeurs pour la croissance des données M2M. Les compteurs intelligents surveilleront les consommations énergétiques, mais seront surtout capables de proposer des comportements optimisés sur bases de modèles issus des analytics.

Le Big Data est également indispensable au développement de la robotique. Les robots vont générer et utiliser des volumes considérables de données pour comprendre leur environnement et s’y insérer de manière intelligente. En utilisant des algorithmes d’auto-apprentissage basés sur l’analyse de ces données, les robots pourront améliorer leur comportement et effectuer des tâches toujours plus complexes, comme le pilotage d’un avion par exemple. Aux USA, des robots sont maintenant capables de percevoir les similarités ethniques grâce aux données issues du crowdsourcing.

Développer les smartcities

Le Big (Open) Data est indissociable du développement des villes et territoires intelligents. Un exemple classique concerne l’optimisation des flux de trafic sur base d’informations « crowdsourcées » en temps réels à partir des GPS, des capteurs, des mobiles ou des stations météorologiques.

Big DataLe Big Data va permettre aux villes, et singulièrement les mégalopoles de relier et faire interagir des secteurs fonctionnant jusque là en silos: bâtiments privés et professionnels, infrastrutures et systèmes de transport, production d’énergie et consommation des ressources, etc.

Seules les modélisations issues du Big Data permettent d’intégrer et d’analyser les paramètres innombrables issus de ces différents secteurs d’activité. C’est également l’objectif de l’initiative Smarter Cities d’IBM.

Dans le domaine de la sécurité, les autorités pourront utiliser la puissance des Big Data pour améliorer la surveillance et la gestion des événements mettant en péril notre sécurité ou pour prédire d’éventuelles activités criminelles, dans le monde physique (vols, accidents de la route, gestion des catastrophes, …) ou virtuel (transactions financières frauduleuses, espionnage électronique, …).

Sources

http://www.awt.be/web/res/index.aspx?page=res,fr,foc,100,208

– Benoit Herr:

http://www.solutions-logiciels.com/magazine_articles.php?titre=Big-Data-le-nouveau-defi-des-entreprises&id_article=601

– Charles Gros:

http://lecercle.lesechos.fr/entrepreneur/internet/221190102/big-data-bien-plus-quun-simple-effet-mode

-Dr. Carsten Dittmar, Volker Oßendoth, et Klaus-Dieter Schulze:

Cliquer pour accéder à Steria-Rapport-biMA-Exec-Sum-VFR-2013.pdf

– Quentin Capelle:

http://www.atelier.net/trends/articles/entreprises-ne-toujours-assez-matures-big-data_426324

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Les PME gagnent à utiliser Linux

Le système Ubuntu, basé sur Linux, remporte un vif succès. Il peut représenter une alternative intéressante d’un point de vue technique et économique pour des TPE-PME, avec quelques conditions et limitations cependant.

Qu’est-ce que Linux?

Aujourd’hui, toutes les entreprises modernes dépendent de leurs ordinateurs et des données qui y sont stockées et traitées. Toute interruption de service de ces systèmes informatiques peut avoir des effets désastreux sur l’entreprise elle-même.
On parle de plus en plus du système d’exploitation Linux en tant que système pouvant remplacer les systèmes classiques en place à l’heure actuelle dans les entreprises, du fait de sa grande stabilité, de ses performances et du caractère ouvert de son code source.

Linux Wall
Linux est un système d’exploitation de type Unix, libre et ouvert. Il a connu un grand succès grâce à l’engouement pour les programmes libres, à un buzz marketing, un logo réussi et à la solidarité de la communauté de développeurs. Ce programme libre et gratuit contient en tout cas nombre de fonctionnalités qui permettent une personnalisation très poussée de chaque poste de travail. Puisqu’il s’agit d’un logiciel totalement libre, les utilisateurs peuvent en modifier le code source et le redistribuer.

Les avantages de Linux pour les entreprises

1. Le coût
La notoriété grandissante de Linux vient principalement du son coût: il est entièrement gratuit. Dans un certain sens, cet état de fait a sûrement fait plus de mal que de bien à Linux pour son implantation dans les entreprises. En effet, la plupart des sociétés supposent qu’un système d’exploitation libre ne peut pas s’intégrer dans une structure qui a des besoins commerciaux.
Aujourd’hui, les entreprises sont attirées par Linux non seulement pour son coût de licence nul, mais aussi pour le surcroît de maintenance très bas, sa stabilité, et sa capacité à surclasser la plupart des autres systèmes d’exploitation.

Toutes les fonctionnalités réalisées par les logiciels intégrés lors de l’installation sont offertes par Linux et d’autres logiciels libres gratuitement, sans aucune limitation sur le nombre d’utilisateurs ou de versions installées.
Cela permet alors de diminuer drastiquement les coûts liés aux licences d’utilisation au sein du réseau d’entreprise, ou de réaffecter les budgets dans des postes à forte valeur ajoutée, comme la formation du personnel pour posséder du savoir-faire de qualité en interne, plutôt que dans des licences sans valeur intrinsèque.

2. Flexibilité
Le code source de Linux est protégé et distribué librement sous la licence GPL, qui autorise tout le monde à modifier le code source, à la condition que les modifications soient elle-mêmes distribuées sous licences GPL.
Grâce à cette ouverture du code, Linux existe aujourd’hui pour un nombre Linuximpressionnant de plateformes. Il est aussi conçu pour exécuter toutes les applications, tant les serveurs Web que les serveurs de messagerie, de fichiers, d’impression ou de bases de données.
De plus, les capacités multi-processeurs et clustering de Linux permettent d’adapter la puissance aux besoins à faible coût. Il peut donc fournir des services que seuls des super-calculateurs pouvaient fournir jusqu’ici. Il est donc un bon candidat pour les applications scientifiques et d’ingénierie, ainsi que les projets nécessitant une très forte tolérance aux pannes et une haute disponibilité comme les sites Web professionnels, de commerce électronique, et les centre de données de sociétés.

3. Fiabilité
De par les milliers de développeurs qui contribuent à Linux et le nombre encore plus grand qui contribuent au développement des applications et à l’écriture de correctif pour le code source, le système Linux est sûrement le système le plus testé et le plus débuggé à ce jour. (Quand un bug est découvert, il suffit de quelques jours avant qu’un correctif soit disponible)

Une des raisons de la fiabilité du système d’exploitation Linux est le détachement de l’interface graphique par rapport au noyau. L’interface graphique de Linux n’est qu’une application comme une autre, et n’est en aucun cas indispensable au système pour pouvoir démarrer tous ses services. En cas d’erreur, seul cette application est atteinte et elle ne peut donc pas entraîner la chute du système ou d’autres services.

4. Sécurité
LinuxLes capacités de coupe-feu (Firewall) de Linux, sous forme de sécurité au niveau du noyau et méthodologies de sécurités implémentées dans les applications, contribuent à la popularité de Linux dans les entreprises.
En plus des procédures de sécurité réseau habituellement utilisées par les administrateurs systèmes, Linux offre une méthodologie de sécurité au niveau du noyau, une fonctionnalité que seul un produit open source peut fournir.

Un autre avantage de Linux en termes de sécurité est la capacité de l’utilisateur à retirer entièrement des services ou des fonctionnalités non utilisées du système d’exploitation. Cette méthode appelée méthode « bottom up » permet d’ôter des faiblesses du noyau, ce qui est beaucoup plus sûr que d’appliquer un correctif à la faille.

Enfin, Linux permet aussi l’utilisation d’algorithmes de cryptage résistants au niveau du noyau pour la sécurisation du trafic réseau. Il est donc le candidat idéal pour les réseaux privés virtuels (Virtual Private Networks – VPN).

5. Stabilité
La stabilité, à l’inverse de la fiabilité, concerne des problèmes en dehors du contrôle du système d’exploitation. Les plantages système dus à une programmation incorrecte au niveau du noyau ou à cause de failles dans la sécurité de celui-ci sont des problèmes de fiabilité.

Linux offre des fonctionnalités de mémoire protégée, de multi-tâches préemptif pour augmenter ma stabilité du système.
La mémoire protégée empêche une erreur dans une application en cours d’exécution d’avoir une quelconque influence sur le système et les autres applications. De cette manière, si une erreur survient dans l’application, elle n’affecte pas le système d’exploitation.

6. Simplicité d’administration
La disponibilité d’un ensemble traditionnel d’outils de connexion à distance avec des niveaux de sécurités allant d’un simple telnet jusqu’à des shell sécurisé (ssh) rend possible l’administration à distance d’un serveur Linux.

Pour faciliter la vie de l’administrateur dans la réalisation de tâches automatiques etLinux vs Windows répétitives, comme la création de dizaine d’utilisateurs, d’ajout d’une ressource à certains utilisateurs, etc…, Linux offre des outils d’écriture de scripts directement dans les lignes de commande disponibles ou des langages de scripts évolués tels que PERL ou Python. Le fait que toute l’administration de Linux peut se faire en ligne de commande simplifie énormément cette tâche, car ces langages permettent généralement l’appel à des fonctions en ligne de commande.

7. Performances
Lors d’une comparaison directe, à matériel équivalent, il a été démontré que Linux était au moins aussi rapide voir souvent plus rapide que la plupart des autres systèmes d’expliotation.
Il est aussi nécessaire de prendre en compte d’autres facteurs:
– Linux peut s’installer et fonctionner correctement sur des systèmes trop restreints en termes de ressources par d’autres systèmes d’exploitation.
– Le faible coût de mise en œuvre de Linux peut souvent compenser des performances inférieures face à des systèmes comme Sun Solaris . En effet, el est intéressant d’utiliser les fonctionnalités de clustering et de haute diponibilité de Linux pour assurer une plus grande tolérance aux pannes et éliminer des situations de point unique de panne.

Conclusion

D’après cet article, Linux est un système réellement « Business Critical ». Contrairement aux idées reçue, il dispose de centaines d’applications professionnelles pour l’entreprise.

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Prospecter à travers les réseaux sociaux

Se lancer sur les médias sociaux pour promouvoir sa marque et générer des prospects, nécessite de maîtriser certaines facettes de ces outils.

Que sont les réseaux sociaux?

Apparus depuis la seconde moitié des années 2000, les réseaux sociaux sont des sites Social MediaInternet qui offrent la possibilité aux internautes de communiquer entre eux, de partager des informations, des photos, des vidéos…
L’usage par les internautes des réseaux sociaux justifie d’utiliser ce canal pour se développer sur Internet, qui permet en plus des formes de communication innovantes. Vous pouvez ainsi utiliser les réseaux sociaux pour :
promouvoir votre entreprise, votre marque, vos produits ;
trouver de nouveaux clients en créant autour de vous une communauté de prospects intéressés par vos produits, vos services, votre expertise…. ;
fidéliser vos clients en les agrégeant dans cette communauté et en établissant une conversation avec eux à travers les réseaux sociaux.

Avantages de communiquer via les réseaux sociaux

Communiquer via les réseaux sociaux permet de bénéficier des audiences très importantes de ces supports et donc de toucher une quantité très importante de population.

Social Media communicationDe plus, les réseaux sociaux offrent aux entreprises un espace gratuit qu’elles peuvent utiliser pour établir des conversations avec les personnes intéressées par leur marque ou leur secteur. Traditionnellement, les espaces publicitaires sont limités en termes d’espaces disponibles et coûteux à acheter. Au contraire, les réseaux sociaux permettent pour une marque de déployer une véritable stratégie de contenus et de construire une relation durable avec les internautes.

Enfin, les réseaux sociaux permettent de bénéficier d’effet de viralité grâce aux interconnexions entre leurs membres. Si vous publiez des contenus intéressants, ils seront repris par les personnes qui vous lisent, puis par ceux qui les lisent et ainsi de suite….

Le choix des réseaux sociaux pour la prospection

Le choix des réseaux sociaux sur lesquels l’entreprise va se développer se fera selon la nature de  son activité et de la communauté visée, avec qui elle souhaite interagir dans un objectif de communication, de fidélisation et de prospection commerciale d’une façon moins intrusive.

Social Media

Optimiser ses comptes sociaux pour générer des prospects

Tous les articles traitant de l’optimisation des comptes sociaux précisent l’importance non négligeable de renseigner tous les champs proposés, à des fins de référencement. Il est souhaitable de placer les liens stratégiquement, notamment sur la page Facebook, comme dans cet exemple  :

Parmi les autres bonnes pratiques, vous pouvez penser aux optimisations suivantes :

– Onglet avec inscription à la newsletter (Facebook)
– Onglet avec vos offres d’emplois, comme dans l’exemple de la page Hubspot (Facebook)
– Utilisez vos mots clés dans les descriptions de vos pages (tous les réseaux sociaux)
– Utilisez vos mots clés dans vos communications (tous les réseaux sociaux)

Première Tactique : Groupe Linked in

Les groupes LinkedIn permettent de traiter une large variété de sujets, réunissant des personnes avec des intérêts professionnels similaires. Vous pouvez ainsi créer votre propre groupe LinkedIn ou vous joindre à un groupe existant relatif à votre domaine d’expertise. Cela vous permettra de réunir des personnes partageant vos intérêts, qu’ils soient prospects ou candidats au recrutement.

Seconde Tactique : Google hangout ou Twitter chats

Pour prouver votre expertise et votre volonté de créer des contenus utiles pour votre audience, organiser des séances d’échanges est une stratégie à envisager.

Les chats Twitter (conversation en ligne en direct) sont animés par un compte Twitter grâce à un hashtag utilisé dans ce but. Il est important d’avoir communiqué le hashtag au préalable sur vos plateformes sociales, afin de créer un rendez-vous. Ils vous permettront de gagner en crédibilité et de créer une communauté.

Hangouts permet aux utilisateurs de créer des visioconférences de deux à dix utilisateurs. Le service est accessible en ligne à travers les sites web de Gmail et Google+ ou à travers des applications mobiles disponibles pour Android et IOS.

À titre d’exemple, Google Hangouts n’a aucun client libre. Les historiques de discussion sont conservés en ligne, leur permettant d’être synchronisés sur les différents appareils. Une watermark est utilisée pour indiquer jusqu’où l’utilisateur a lu une discussion.

Les utilisateurs peuvent s’envoyer des images qui sont automatiquement importées dans un album privé.

Développer des initiatives de marketing social

Les médias sociaux permettent de cibler avec précision votre audience, notamment avec des initiatives payantes. La publicité sociale fournit ainsi une occasion unique de cibler une audience qualifiée et pertinente sur vos réseaux sociaux.

Tactique avec les annonces sponsorisées

1. Twitter offre pléthore d’outils publicitaires, comme les Promoted Tweets, Promoted Logo TwitterAccounts, Promoted Trends et le ciblage des mots clés. Vous pouvez cibler les résultats de recherche (par hashtag), par intérêt (basé sur le profil public et les tweets), et par la géolocalisation. Vous disposez d’options de ciblage pointus qui vont permettront de cibler votre audience avec précision et de dépenser votre budget intelligemment.

2. La publicité sur Facebook peut être en mesure de vous aider à atteindre votre audience, selon le thème de vos communications avec des contenus adaptés à votre Logo Facebookpublic. La dernière mise à un jour de Facebook a eu un impact important sur la visibilité des contenus et des posts des pages fans, ce qui implique l’utilisation des annonces publicitaires du réseau social pour optimiser la délivrabilité des messages et trouver de nouveaux prospects. Pour atteindre vos objectifs et améliorer naturellement le ROI, Facebook permet mesurer les performances de vos publicités et de cibler par pays sur des segments choisis de la population par age, sexe et centre d’intérêts.

3. Cependant, en tant qu’entreprise b2b, si vous avez un budget limité, vous pouvez logo linkedinconcentrer vos efforts sur LinkedIn. LinkedIn est idéal pour offrir à vos prospects votre contenu, qu’il soit intemporel, que ce soit des livres blancs ou des ebooks. En fait, LinkedIn offre un taux de conversion visiteurs- prospects 277% meilleur que Twitter ou Facebook.

Les pièges à éviter

1. Industrialiser ses messages

Pour gagner du temps, vous serez tenté d’envoyer les mêmes messages à tous vos prospects au même moment. Grave erreur. Les plateformes limitent le nombre d’envois en simultanée pour éviter les spams. Ces outils sont au contraire conçus pour favoriser les mises en relation personnalisées, en « one to one ».

2. Harceler ses prospects

Multiplier les messages directs vers un prospect sur une période courte peut devenir rapidement contreproductif. Votre cible se sentira harcelée. Il pourra vous exclure de son réseau et vous faire de la contrepublicité.

3. Dénigrer la concurrence

Ces réseaux ne sont pas faits pour régler ses comptes. Des commentaires négatifs sur votre ex-employeur ou un concurrent seront très mal perçus par vos prospects. Les insultes ou les grossièretés sont à proscrire. Très mauvais pour votre réputation sur internet. Evitez aussi d’étaler vos déboires : souriez, vous êtes cliqué !

Social Media

4. Tout miser sur les réseaux sociaux

Croire que ces outils suffiront pour développer votre business est une erreur. Ils viendront en complément d’outils plus traditionnels comme une campagne de relation presse, du e –mail marketing ou de la pub dans la presse.

5. Abandonner le networking traditionnel

De même, ces réseaux sur internet ne vont pas remplacer le réseau en face à face. Pour Hervé Bommelaer, directeur de l’Espace Dirigeants, « ils ne sont qu’une nouvelle partie additionnelle et complémentaire du Networking. Une poignée de clics ne remplace pas une poignée de main ».

Conclusion

Ajoutons que de plus en plus de marketeurs B2B tirent parti de la popularité des médias sociaux notamment pour dépenser plus et plus intelligemment sur les médias sociaux, via les différentes possibilités d’annonces et de retargeting, travaillant en continu leur ciblage, pour optimiser leurs dépenses et accroitre leurs conversions.

Cela dit, n’attendez pas des réseaux professionnels un retour sur investissement immédiat. Ce n’est qu’après plusieurs mois d’activité sur ces plateformes que les premières retombées se feront sentir. Caroline Goetz, consultante spécialisée dans le conseil aux enseignes de franchises, témoigne : « en un an et demi, Viadeo a fait progresser rapidement ma notoriété dans un milieu de la franchise de surcroît très masculin. C’est grâce à ma présence sur cette plateforme que mon plus gros client actuel m’a contacté spontanément. Sur ce réseau, je me suis aussi fait repérer par un autre consultant qui m’a proposé de partager une mission ».

Sources

–  http://www.apce.com/pid12268/les-reseaux-sociaux.html?espace=3
– Laurent:
 http://www.expertisme.com/actus/lutilisation-des-reseaux-sociaux-pour-la-prospection-commerciale/
– Nicolas Caron:
 http://www.legrandblogdelavente.com/les-reseaux-sociaux-des-outils-formidables-pour-prospecter-sans-barrages-secretaires
– Florence Martinn:
 http://www.surfandbiz.com/article/optimiser-comptes-sociaux-prospects.htm
–  http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/web/dossiers/112594/112597-reseaux-en-ligne-six-pieges-a-eviter-33000.php
–  http://business.lesechos.fr/entrepreneurs/web/dossiers/112594/112595-reseaux-sociaux-professionnels-les-bonnes-methodes-pour-prospecter-32879.php
–  http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Hangouts

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Créer le Buzz sur internet: rien d’impossible!!

Dans l’écosystème Internet, le webmarketing est devenu un art à part entière. En maîtriser les leviers permet aux entreprises de générer plus de prospects et de booster leurs ventes de manière significative.

Qu’est-ce qu’un Buzz?

Un buzz vient de l’anglicisme bourdonnement. Il s’agit d’une technique de marketing qui consiste à faire beaucoup de bruit autour d’un produit, d’une offre ou d’un concept.

Cette technique utilise fréquemment le média Internet comme moyen de diffusion, et Buzz sur le netpeut mettre en avant divers supports comme une vidéo, une musique, ou un article pour faire connaître un produit. Le buzz utilise le bouche-à-oreille pour diffuser l’information.

En général, le buzz est centré sur une rumeur, l’information n’est pas donnée directement, afin de créer un effet de propagation et d’entraîner diverses suppositions. Il s’agit d’une technique, très efficace, pour faire parler de soi et faire connaître son entreprise.

Néanmoins, le but du buzz étant de se propager très rapidement, il faut le travailler au préalable, afin de pouvoir maîtriser sa portée.

Les différentes étapes pour créer le Buzz

1. Fil conducteur
Commencez par ouvrir un blog ou un site Web. C’est possible sans avoir besoin des compétences d’un informaticien. WordPress (disponible gratuitement surwordpress.com) est l’un des outils les plus simples à utiliser pour cela. Après avoir placé les éléments esthétiques, dont un bandeau photo avec le nom de l’entreprise et du produit, créez plusieurs billets indiquant les thématiques abordées, les moyens d’accès, les informations de contact, … Tout doit être accessible depuis la page de garde, soit par des onglets, soit via un sommaire dans la marge.

2. Définir des contenus à potentiel viral
Trois chercheurs ont théorisé les critères de la viralité.
Tout d’abord, d’un point de vue social, le partage permettrait de créer du lien avec les autres au travers de ses émotions.
Qu’importe si le contenu est léger, sa capacité à générer une émotion va augmenter sa viralité.

Buzz Marketing sur internet
Deuxième approche : la réappropriation et le détournement sont de nature à générer du partage.
Le buzz de la Redoute, né début 2012 autour de la publication de la photo d’un homme nu sur leur site, a fait en quelques heures, l’objet de nombreux détournements autours de personnages publics (Tintin, Dominique Strauss-Kahn, Michael Jackson…).
Cela a prolongé le buzz autour de cette erreur de publication.

La dernière approche met en évidence la nécessité pour les internautes de faire partie ou d’être initiateurs d’un buzz.

3. Contenus à partager
Trois types de contenus et services ont vocation à être partagés de manière virale :

– ceux qui dont la valeur est forte (information importante, bon plan…) ;
– ceux qui sont divertissants, drôles (jeux) ;
– ceux dont la valeur croit avec le nombre d’utilisateurs et pour lesquels le viral est à la base de la performance du service : services (Skype, achats groupés, jeux-concours dont la probabilité croît avec le nombre de partages…).

4. Relation émotion / réaction
Par ailleurs, selon Matrix Partners, des conditions favorisent la viralité d’un contenu ou d’un message.
Il s’agit du couple charge émotionnelle / réaction.

Un contenu générant une excitation forte sera plus facilement partagé qu’un contenu banal, qui ne sort pas de l’ordinaire ou qui ne joue pas sur la sensibilité.
Un contenu générant une réaction positive aura une meilleure probabilité de partage qu’un autre provoquant colère ou dégoût.

Cela permet de définir plusieurs niveaux de viralité :

– un contenu à forte charge émotionnelle, provoquant une réaction positive, aura la plus forte probabilité d’être partagé ;
– un contenu à faible charge émotionnelle, provoquant une réaction positive aura une chance un peu moins forte d’être partagé ;
– un contenu ni chargé en émotion, ni positif n’aura aucun potentiel de viralité.

Buzz Marketing
Cédric Rainotte définit quant à lui 7 péchés capitaux du buzz marketing : la facilité de partage (paresse et avarice), le côté exclusif de l’information transmise (orgueil), l’intérêt pour ce type de campagnes (gourmandise), le côté pimenté (luxure), l’appui de relais d’influence (colère), et la créativité (envie).

5. Entre le permis et l’interdit
Enfin, comme pour toute communication, il faut adapter la forme et le fond au support et à la cible.
Utiliser le ton et le champ sémantique du public que l’on souhaite atteindre est de nature à augmenter le potentiel de partage.
La valeur émotionnelle sera forte si l’on chercher à produire un « Wow effect », c’est-à-dire à surprendre la cible.

Mais pour qu’il y ait un buzz, il faut être très proche de la frontière entre le permis et l’interdit sans la dépasser. 

En Belgique, une marque de voiture a créé le buzz en envoyant le nom d’une personne, la couleur et la marque de son véhicule en se faisant passer par la police qui avait constaté un excès de vitesse.
L’internaute recevait alors un appel téléphonique reproduisant l’enregistrement d’un commissaire de police.
Les personnes qui allaient au bout de l’appel apprenaient que c’était un canular.
Beaucoup de ceux qui ont interrompu l’appel sont allés se plaindre au commissariat, créant un scandale.

La campagne a été stoppée au bout d’une semaine.

6. Investissement à rentabiliser
L’idéal est de réaliser un investissement modéré qui pourra être plus facilement rentabilisé.

La force de la viralité est, pour une quantité de média acheté (payed), de générer le maximum de retombées (commentaires, articles de presse, de blogs…), c’est-à-dire du média gagné (earned). 

Lors du lancement du film Toute la beauté du monde, Marc Lavoine avait enregistré une phrase avec 400 prénoms féminins.
Il s’agissait d’un message personnalisé indiquant que la destinataire était « toute la beauté du monde ».
Avec 5 000€ d’investissement, c’est 80 000 adresses qui ont été récoltées, soit un coût au contact très intéressant (0,06€ par adresse).

7. Faciliter le partage
Bouche à oreille pour le buzzMais pour favoriser la vitalité, il faut également que le partage soit facilité.
Un contenu mis en ligne sur une plate-forme sociale pourra être facilement rediffusé via les options intrinsèques.
Sur un site, il faut en revanche prévoir des solutions comme le transfert par e-mail, les boutons de partage des médias sociaux (like, +1, tweet…).
Le like de Facebook est à ce titre l’une des solutions les plus simples pour partager un contenu à son réseau d’amis.

Selon Matrix Partners, il est alors possible de mesurer un coefficient de viralité pour optimiser ses dispositifs.
Celui-ci est fonction du nombre de partage mis en rapport avec le taux de conversion moyen (inscription, achat…).
Selon cette équation, plus le nombre de contacts pouvant être associés au dispositif viral est important, plus le coefficient de viralité est fort.
C’est le principe de la multiplication des réseaux : lorsqu’une personne partage à dix contacts qui eux même partagent à dix autres contacts, ce n’est pas trente personnes qui sont exposées, mais mille.

8. Teasing, seeding, reveal…

Dernier levier : la vitesse de propagation. Plus celle-ci est rapide, plus l’impact (évalué ici par la couverture du buzz), sera fort.La phase de teasing est à la base du buzz marketing. 

Elle consiste à créer du mystère autour d’une offre et d’un événement pour augmenter les attentes et inciter les internautes à découvrir le mystère.
Le lancement des offres mobiles de Free répondaient bien à cette étape puisque l’opérateur téléphonique a maintenu un certain mystère quant à la date de lancement de ses forfaits et à leur prix.
Cette phase doit s’accélérer au fur et à mesure que s’approche la phase de reveal, c’est-à-dire le dévoilage de la campagne.
Le teasing de Voyages-SNCF il y a quelques années avait très bien fonctionné.
Le TransAtlantys permettait de rejoindre en train, sous l’Atlantique, New-York depuis Paris.
Ce projet loufoque a été à l’origine d’un formidable buzz, l’un des premiers en France, pour annoncer le lancement de la vente de billets d’avion sur le site de Voyages-SNCF.

Mécanisme du Buzz marketing
Le seeding consiste à diffuser des bribes d’informations auprès d’un réseau d’influenceurs pour entamer les discussions et le teasing.
Apple avait ainsi brillement orchestré cette phase lors du lancement de l’iPhone 4.
Un prototype, apparemment perdu dans un bar par un ingénieur de la firme, avait été vendu à un blog spécialisé, Gizmodo .
Celui-ci s’était alors empressé de l’étudier sous toutes les coutures. Les spéculations pouvaient aller bon train.
Pour cette phase de seeding, s’appuyer sur un grand nombre de sources peut maximiser l’efficacité de son buzz.
Il faut pour cela identifier, via l’écoute des médias sociaux, les leaders d’opinion et les influenceurs qui reprendront l’information et la rediffuseront à leur cercle d’influence.Le reveal pourra aussi être suivi de nouvelles phases de seeding qui permettront de prolonger le buzz.
Enfin, la phase de reveal doit être accompagnée d’un plan média qui permettra de maximiser l’impact de la campagne et la diffusion sur les différents relais de la sphère médiatique (presse, radio, télévision, médias sociaux, blogs…).

L’impact sera d’autant plus fort que le mystère aura été préservé, malgré les fuites d’information organisées.

 Sources

– Laetitia
 http://www.over-blog.com/Comment_faire_le_buzz_sur_Internet_conseils_et_astuces-1095203869-art74244.html
– Extrait du livre d’Hervé Bloch
 http://www.tourmag.com/Webmarketing-comment-creer-le-buzz-et-la-viralite_a62898.html
– Hervé Kabla
 http://pro.01net.com/editorial/604242/comment-creer-le-buzz-autour-de-vos-evenements/

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Réseaux Sociaux: comment conquérir les socionautes?

Les tendances des comportements des socionautes pour 2014.

Introduction

Image de socionautesLes échanges sur les réseaux sociaux ont beaucoup évolué cette année. Les consommateurs n’envisagent plus cette pratique en une seule dimension. De nouveaux usages des médias sociaux apparaissent, mais outre le recul apparent de Facebook, c’est la diversité d’utilisation des services qui frappe surtout.
La multiplication des plates-formes de médias sociaux fait que les consommateurs ont plus de choix que jamais quand ils veulent partager du contenu. Face à ce constat, les e-marketers doivent se tenir informés et agir en conséquence. En effet, les marques qui se concentrent sur des plates-formes sociales spécifiques risquent bien de se laisser dépasser et de manquer l’occasion de nouer une relation de fidélité avec ceux de leurs clients qui privilégient d’autres réseaux.

Différents types de socionautes

Une étude de la SNCD a permis de déceler cinq types de socionautes.
34% d’entre eux sont des « Mono-users ». Présent sur un seul réseau et encore peu matures, ils disposent de 90 contacts en moyenne.

15% sont des « évolutionnistes ». En général présents sur Facebook et un autre Utilisateurs des réseaux sociauxréseau, ils possèdent un potentiel pour devenir des « Socialisés ».
Ces derniers (33%) se sous segmentent en 2 ensembles : les socialisés spectateurs(7%) et les socialisés contributeurs (26%). Cette sous-catégorie possède donc un potentiel d’interactivité important.

Encore plus important est celui des « Intensifs » (10%). Présents sur au moins trois réseaux, ils disposent cependant d’une communauté de 200 contacts par plateforme. Leur avis compte donc, même si leur voix se fait un peu moins entendre que celle des « Influents » (8%) possédant quant à eux plus de 200 contacts par réseau.
Le tableau se complète par les « Hypers » (2%) dont le potentiel d’influence est remarquable.
A noter que ces 3 derniers profils possèdent un âge moyen autour des 35 ans.

Statistiques d'utilisation des réseaux sociaux par les utilisateurs

Quelles sont les motivations des socionautes

Les socionautes recherchent en priorité des réductions commerciales, des informations exclusives (exclusivité internet…). Le réseau social joue pleinement son rôle lorsque le socionaute s’exprime, en donnant son avis ou des conseils. 15% des socionautes déclarent être devenus nouveaux clients d’une marque en raison de commentaires sur les réseaux sociaux.

Tout ceci laisse penser que les marques ont tout intérêt à exploiter cette tendance. Voyons les principales tendances qui vont (sans doute) se développer à l’avenir.

Les offres géolocalisées. 6 socionautes sur 10 acceptent de recevoir des offres selon leurs endroits de déplacement.
Dématérialisation des cartes de fidélité, et billets (spectacles, transports).

Motivation des socionautes

A partir de ces observations, on voit clairement un changement de comportement du consommateur. Les réseaux sociaux par le biais des plateformes mobiles s’affranchissent des limites physiques qu’imposait l’ordinateur. Les annonceurs peuvent donc affiner leur ciblage grâce à une audience davantage ciblée et réactive puisque constamment connectée.

Il faut être à l’écoute

Si bénéficier d’un service client plus réactif ne constitue pas la première préoccupation de ces socionautes, 49% des avis postés sur une marque s’avèrent être des plaintes.
De plus, 69% des socionautes ayant émis une critique estiment ne pas avoir été écoutés par la marque. Le rôle du community manager semble donc à ne pas mésestimer.

Motivations des sociaunotes
La principale attente des socionautes a trait aux réductions commerciales et 82% des répondants souhaitent également recevoir des informations exclusives. Deux domaines dans lesquelles le smartphone semble trouver une place toute particulière.
Enfin, si les réseaux sociaux ne semblent pas être un canal de vente (seulement 3% des socionautes ont déjà acheté sur un réseau social), 38% des inscrits prennent en compte les avis ou remarques sur leurs réseaux sociaux avant un achat.
En effet, ils sont 16% à déclarer être devenus nouveaux clients d’une marque du fait des réseaux sociaux.

Sources

John Elkaim – VP Marketing Gigya
 http://www.itrnews.com/articles/146148/nouveaux-usages-consommateurs-reseaux-sociaux-deviennent-etonnement-diversifies-john-elkaim-vp-marketing-gigya.html

Pierre-Marie Mateo
 http://www.atelier.net/trends/articles/socionautes-plus-matures-requierent-attention-permanente-marques_424783

Valentin Poulard
Source : conférence Mobilité et médias sociaux et  attentes des consommateurs – Salon du E-Marketing Paris
 http://www.le-webmarketeur.com/2013/02/25/mobilite-et-medias-sociaux-les-attentes-des-consommateurs/

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