Cette formation peut également être organisée dans un environnement (blended) e-learning.
Objectifs
Le cours de rafraîchissement des bases en Excel est traité en une demi-journée. Par conséquent, le rythme est plus rapide que le cours normal d’Excel Prise en main. A la fin de la demi-journée, les participants pourront mettre en forme des fichiers Excel, utiliser les fonctions de base et faire des calculs simples.
La télévision sociale, ou l’art d’interagir sur des émissions grâce aux réseaux sociaux, est encore à ses débuts en France mais continue de se répandre progressivement sur les chaînes de télévision et les programmes.
Certaines émissions font partie des pionnières dans l’hexagone en la matière, comme The Voice, le télé-crochet musical diffusé dans de nombreux pays dans le monde et en France. La saison 1 a été diffusée sur TF1 il y a un an et a été un succès à tous les niveaux : 8 millions de téléspectateurs en moyenne, 170 000 fans Facebook, 75 000 abonnés Twitter, un million de tweets et 55 millions de vidéos vues.
The Voice saison 2 débute ce soir sur les antennes de la chaîne et apporte encore un peu plus de nouveautés et toujours plus d’interactivité avec les réseaux sociaux.
Les réseaux sociaux bien présents à la télévision
J’ai assisté à la présentation digitale de cette saison 2 au siège du groupe TF1 et je dois avouer que même si je ne suis pas un fan inconditionnel de ce genre de programmes, je suis assez convaincu par le dispositif social mis en place par la chaîne pour cette émission et pour d’autres.
La première chose est que le présentateur et les coachs jouent plutôt bien le jeu en étant présents sur les réseaux sociaux : le premier, qui n’est autre que Nikos Aliagas, est hyperactif par rapport à Garou, Jenifer, Florent Pagny et Louis Bertignac (ce dernier manque d’ailleurs à l’appel sur Twitter).
Karine Ferri (co-animatrice) et Nikos Aliagas (présentateur)
La production et la chaîne accompagnent les candidats pour bien débuter sur Twitter et Facebook mais ne contrôlent en aucun cas leurs comptes qui sont, pour le coup, personnels. Libre à eux de posséder un compte, de tweeter plus ou moins régulièrement ou de déserter tout réseau social…
Enfin, l’apparition des tweets ou autres hashtags à la télévision sera assez limitée — la chaîne voulait satisfaire un large public tout en générant évidemment des conversations mais en ne brusquant pas pour autant ceux qui ne connaissent ou n’utilisent pas Twitter et Facebook. Là où des émissions telles queTouche pas à mon poste et Nouvelle Star sur D8 se basent véritablement sur les réseaux sociaux, TF1 choisit d’y aller doucement avec The Voice.
Les nouveautés sociales de The Voice saison 2
En ce début d’année et à l’occasion de la diffusion de The Voice saison 2, TF1 lance un service qui montre tout l’intérêt du second écran appelé sombrement « Connect ». Ce véritable tableau de bord, à lancer sur sa tablette ou sur son ordinateur et en complément de la télévision, réunit entre autres les personnalités de la chaîne et leurs comptes Twitter respectifs, les derniers extraits vidéos des programmes diffusés ou à venir, les tweets relatifs au programme en cours de diffusion et la possibilité de voir le direct en grand ou dans un coin de l’écran…
C’est assez classique jusque là mais le service apporte également des petits plus spécifiques à The Voice : à commencer par le 5e Coach qui permet de se mettre dans la peau d’un coach en devinant les talents sélectionnés et par quels jurés, un jeu ludique qui devrait permettre de gagner des points échangeables par la suite contre des cadeaux (dont des iPads).
Sans oublier, la fonction Instant Replay qui permet de partager sur les réseaux sociaux une séquence de 30 secondes maximum en choisissant précisément l’extrait. Ces courtes vidéos permettront de comprendre et de mieux suivre les livetweets mais seront soumises aux mêmes contraintes que la télévision de rattrapage (ou replay) avec les fameuses restrictions géographiques et temporelles (une semaine, généralement) imposées pour des questions de droits… Cette fonctionnalité devrait être disponible également sur d’autres programmes, comme des matchs de football.
MyTF1 Connect est disponible sur le web et sur les applications iOS et Android. Ces dernières doivent être mises à jour bientôt, si ce n’est pas déjà le cas.
Après avoir annoncé en grande pompe il y a deux jours son moteur de recherche social appelé Graph Search, le réseau social Facebook continue encore et toujours d’être amélioré.
Il est aujourd’hui question de Facebook Messenger : l’application permet d’appeler gratuitement ses amis aux États-Unis depuis aujourd’hui et au Canada depuis quelques jours maintenant. C’est finalement la suite logique pour ce client de messagerie du réseau social sur mobile qui sert exclusivement à discuter avec ses amis et contacts en temps réel.
Cette nouvelle fonction pour passer des appels gratuits est réservée pour le moment à l’application iOS, la version Android ne mentionnant pas cette fonctionnalité. Les utilisateurs du système d’exploitation mobile de Google devront se contenter des messages vocaux, fonction qui évite de taper des messages à la main et qui est aussi disponible sur iOS, soit dit en passant.
À l’heure où j’écris ce billet, seule l’Amérique du Nord peut profiter des coups des fils gratuits donc on attend impatiemment que la fonction débarque en Europe et surtout en France. Il suffira d’appuyer sur le bouton « i » et ensuite « Appel gratuit » pour appeler quelqu’un depuis l’application, cette personne recevra une notification push, et pourra accepter ou refuser si l’application est installée. C’est ni plus ni moins le même fonctionnement qu’un logiciel de VoIP tel que Skype.
Free est de retour. Après le fiasco ou le succès, c’est selon, de son bloqueur de pub et de la guerre entre internautes qui a suivie, le FAI non seulement remet le couvert en veillant cette fois à désactiver l’option par défaut sur sa box, mais veut en plus en faire profiter ses clients Free Mobile.
L’option semble avoir été rendue disponible discrètement mais en même temps que le retour de celle destinée aux abonnés Internet. Elle se trouve sur l’Espace Abonné de Free Mobile. Un petit message fait la promotion du service sur la page d’accueil, et en entrant dans le menu des options proposées, parmi lesquelles la data ou les appels internationaux sont déjà présents depuis quelques temps, on retrouve un nouvel arrivant, nommé « Blocage de la publicité », présenté en ces termes :
L’activation peut entraîner le blocage de l’affichage de publicités figurant sur les pages web que vous visitez et sur les applications.
Elle est proposée à titre de test, des publicités peuvent continuer à s’afficher malgré l’activation.
L’option peut être désactivée à tout moment.
Free prend des pincettes : il s’avère que pour l’instant, aucun changement n’est observable après activation, sans doute le temps que l’option soit prise en compte, les changements opérés sur son compte Free Mobile nécessitant souvent un petit délai.
Cette option sera probablement, comme sa grande soeur de l’Internet fixe, accueillie à bras ouverts par les utilisateurs. On imagine les bandeaux de publicités des pages web et des applications être masqués, pour le plus grand plaisir des mobinautes et de leurs factures data.
D’aucuns répondront ironiquement que la publicité est déjà absente des mobiles Free, tout comme le web est inaccessible de par la qualité du réseau, les mêmes questions qu’avait soulevées l’AdGate il y a quelques jours ressurgissent : ne pas toucher à la publicité pour le bien de l’Internet, la couper à la racine, ou bien laisser le consommateur entièrement libre d’installer une application indépendante pour filtrer les pubs ?
Jouer au poker pour rire avec les copains et une poignée de jetons, c’est bien, mais jouer avec un vrai enjeu c’est mieux, tous les joueurs vous le diront. Question d’adrénaline ! C’est un peu comme la différence entre les auto-tamponneuses et la Formule 1…
Tout ça pour dire que Winamax, le site de poker en ligne avec des vrais morceaux de Patrick Bruel dedans, première salle de poker au monde à proposer du poker en argent réel sur mobile, vient de mettre en ligne une nouvelle version de son application pour Android, qui permet aux joueurs expérimentés de jouer jusqu’à 4 tables simultanément.
Et, puisque toutes les parties de l’application PC/MAC Winamax sont accessibles aussi sur mobile, il est possible de disputer les Freerolls, des tournois gratuits avec du cash à gagner. Il y en a 12 par jour avec de 50 à 250€ à se partager, ce qui selon les spécialistes est idéal pour débuter.
Pour accéder à cette version mobile, vous devrez d’abord créer un compte sur la page dédiée du site Winamax, sur laquelle vous obtiendrez les identifiants nécessaires à votre connexion.
Notez que l’application Android n’est pas disponible dans Google Play pour le moment, mais vous pouvez l’installer à partir du site : https://www.winamax.fr/android
Pour les utilisateurs iPhone et iPad c’est par ici que ça se passe :
Instagram does not claim ownership of any Content that you post on or through the Service. Instead, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, transferable, sub-licensable, worldwide license to use the Content that you post on or through the Service, except that you can control who can view certain of your Content and activities on the Service as described in the Service’s Privacy Policy, available here:http://instagram.com/legal/privacy/
Émoi dans le Web, depuis qu’Instagram, le service mobile de partage de photos a publié cette nuit ses nouvelles conditions générales d’utilisation, applicables au 16 janvier 2013.
En effet, dans le paragraphe « Rights » de ces nouvelles mentions légales, il est indiqué clairement que si Instagram ne revendique aucune propriété sur le contenu que vous postez sur le service, en revanche vous l’autorisez à utiliser ce que vous publiez de façon non exclusive et libre de droit. Autrement dit, après le 16 janvier, tout ce que vous publiez sur Instagram (à savoir des photos) pourra être monétisé par le service de la façon qui lui plaira, où il lui plaira et avec qui il lui plaira, sans que vous ne puissiez avoir votre mot à dire, ou prétendre à une quelconque rémunération. Seules les photos publiés en mode « privé » seront épargnées par cette éventuelle commercialisation.
Inquiétant ? Affolant ? Révoltant ? Il faut se calmer. Pour trois raisons.
D’une part, aussi énervant que cela puisse être (moi aussi ça m’énerve) vous SAVEZ que quand vous publiez votre contenu sur l’une de ces plateformes, qui plus est filiale de Facebook, il ne vous appartient plus. De toute façon, tout le contenu que l’on publie sur le web est potentiellement reproductible et peut être copié, voire revendu à l’infini sans que l’on puisse réellement en contrôler cette diffusion sauvage, saut à payer des armées d’avocats spécialisés dans la chasse à la contrefaçon, comme le fait par exemple sans relâche – et de façon parfois un peu abusive – Getty Images. En tant que blogueur régulièrement pillé par des agrégateurs à la con et des autoblogs bardés de pub qui font du beurre sur mon dos, j’en sais quelque chose.
D’autre part, à part voir un jour votre belle photo d’arc en ciel sépia (?) reprise dans une publicité (ce qui doit représenter à peu près autant de chances que celle de gagner à l’Euromillion), et donc une belle caresse pour votre ego, que risquez-vous exactement ? De voir votre vie privée violée ? Non, ne me dites pas que vous avez mis des photos privées, intimes et confidentielles sur Instagram ? De ne pas gagner d’argent avec un cliché que de toute façon vous n’avez pas diffusé pour gagner de l’argent ? What.The.Fuck ?
Enfin, si l’on regarde de près les conditions générales actuelles, on remarque que cette clause existe déjà, même si formulée un peu différemment :
Instagram does NOT claim ANY ownership rights in the text, files, images, photos, video, sounds, musical works, works of authorship, applications, or any other materials (collectively, « Content ») that you post on or through the Instagram Services. By displaying or publishing (« posting ») any Content on or through the Instagram Services, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, worldwide, limited license to use, modify, delete from, add to, publicly perform, publicly display, reproduce and translate such Content, including without limitation distributing part or all of the Site in any media formats through any media channels, except Content not shared publicly (« private ») will not be distributed outside the Instagram Services.
En fait, c’est la note sur le blog d’Instagram qui a mis le feu aux poudres et révélé au grand jour quelque-chose que personne n’avait lu jusqu’à présent, mais qui existait déjà. En jouant la transparence, Instagram s’est finalement tiré une balle dans le pied, ou comment créer un problème là où il n’existait pas…
Je ne dis pas que j’approuve ni que ceci soit parfaitement « moral », mais encore une fois quand on bénéficie gratuitement de services qui coûtent des millions à maintenir, il ne faut pas s’étonner ni s’émouvoir de ce genre de clauses, qui vont certainement se multiplier à l’avenir. Rien n’est gratuit, et il faudrait être bien naïf pour penser le contraire.
Et l’éthique alors dans tout ça ? C’est simple : vous êtes prêts à payer un abonnement à Instagram pour garder la propriété exclusive de vos photos ? Dans ce cas montez plutôt un blog. Ou alors il y a de la place pour un service premium privé de partage de photo, payant sur abonnement. Certains d’entre vous mentionnent 500px dans les commentaires. Soit, mais je ne suis pas certain que l’on puisse réellement comparer 500px et Instagram, et encore moins prétendre que le premier est une sorte de version payante du second. C’est pour cette raison que je n’en n’ai pas parlé. Cela étant, ok, 500px permet de mieux gérer ses droits, et de faire directement commerce de ses photos. Et donc adresse un besoin auquel ne répond pas Instagram.
Vous êtes-vous déjà amusé à regarder un peu les petits noms mignons que certain attribuent à leur connexion WiFi ? Généralement cela se limite à des acronymes techniques d’origine que personne n’a songé à modifier, du type FreeWifi ou Home. Les plus aventureux, ou les maniaques de la personnalisation vont aller bidouiller pour affubler leur réseau d’un « UbuntuForEver » pour bien marquer leur territoire ou encore d’un « sexyGirl » pour faire grimper aux rideaux toute la section masculine de l’immeuble qui jettera ensuite un regard salace, humide, et plein de sous-entendus à chaque fille croisée dans l’escalier.
Mais il y a une nouvelle tendance : le message que l’on veut faire passer à son voisinage, et plus particulièrement le message de protestation, ou, plus carrément, l’insulte.
Une nouvelle pratique décryptée par le site de la BBC (on s’insulte beaucoup en Angleterre visiblement) et qui met en lumière cette nouvelle façon, anonyme mais parfois assez crue, de communiquer entre voisins. Et les réseaux WiFi de se parer de noms d’oiseaux, ou de revendications, la plupart du temps liées au bruit, ou au sexe. Ou les deux (ça va souvent ensemble, il y a une championne du monde dans mon immeuble). Et aussi à l’occupation abusive de la bande passante.
Ce qui donne des identifications de Wifi comme :
« You’re music is annoying! »
suivie de la réponse fort à propos
« Your grammar is more annoying! »
ou encore le savoureux
« We can hear you having sex »
sans oublier l’impayable et presque menaçant
« Shut The Barking Dog Up No 7″ (fais taire ton chien, numéro 7)
Plus personnellement, je rencontre fréquemment un « FBI car » ou autres trucs rigolos du même genre. L’imagination des WiFinautes est sur ce point sans limites. Dans une rubrique intitulée « Est-ce que les noms WiFi parlent plus fort que les tweets », le site OpenSignal recense les slogans politiques qui peuplent les noms de réseaux, ce qui représente peut-être une façon subliminale et ultime d’afficher ses opinions et de faire de l’agit’ prop.
Un indice : si vous voyez apparaitre prochainement un « arrêtedejetertesputainsdemégotssurmaterrasse » sur votre écran d’identification des réseaux WiFi, vous saurez que vous n’êtes pas très loin de chez moi.
Windows 8, c’est un certain nombre de paris que Microsoft a osés faire. L’interface « Modern UI » (appelée précédemment « Metro ») est mise en avant afin d’introduire les vignettes et le Windows App Store qui vient de passer le cap des 20 000 applis.
La classique interface « bureau » reste malgré tout présente. Mais, elle est orpheline du bouton « démarrer ». Volonté de Steven Sinofsky bouté récemment hors de la société, son absence (celle du bouton) perturbe encore. Difficile toutefois de faire une corrélation avec les débuts difficiles de Windows 8.
Toutefois, on découvre au gré d’un simple clic qu’il est présent d’une certaine manière. Plus exactement, c’est un menu déjà présent mais moins étoffé sous Windows 7 (accessible de la même manière) qui est présent. Microsoft ne l’a pas caché mais n’en a pas réellement fait la promotion. Vous pouvez également y accéder depuis les interfaces bureau et Modern UI avec la combinaison de touches Windows+X. Le menu est très pratique si vous ne voulez pas vous souvenir de la myriade de raccourcis de Windows 8 ou tout simplement si vous faites vos premiers pas sur cette nouvelle version.
Mais, si vous désirez retrouver le menu « démarrer », sachez que plusieurs éditeurs proposent des solutions pour en installer une version souvent gratuite. On notera celle de la startup Pokki qui s’installe très facilement et vous offre sur un plateau un menu « démarrer » qu’il est possible de personnaliser.
Un bouton absent de la version officielle de Windows 8 qui n’a pas fini de faire parler de lui. Il se murmure ainsi que Sinofsky parti, le bouton pourrait, lui, revenir (sur Windows 9 ?).
Menu accessible via un clic droit dans l’angle inférieur gauche
Zoom sur le menu « caché »
Menu « démarrer » ressuscité par Pokki
Source : http://www.presse-citron.net
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