La faible autonomie de nos gadgets High-Tech est le fléau 2012. En 2013, vous pourrez puiser dans la batterie de votre tablette pour recharger votre smartphone. Et tout cela sans-fil, grâce au standard Qi et à Fulton Innovation.
Cette année, l’idée la plus cool pourrait venir d’une société inconnue dans nos contrées, Fulton Innovation. Ce pionnier de la recharge sans-fil présentera deux produits innovants lors du CES 2013.
Le premier, un chargeur de batterie sans fil, permet de puiser dans la batterie de votre tablette afin de la transférer à votre smartphone. Les batteries des tablettes étant souvent plus importantes, permettra d’avoir une réserve à disposition (à condition d’avoir au préalable rechargé votre tablette). C’est le standard Qi qui est utilisé pour le transfert d’énergie. La tablette pouvant alors recharger n’importe quel téléphone/batterie compatible Qi.
Seul bémol : il est nécessaire d’arrêter d’utiliser votre tablette et de poser les 2 à proximité l’un de l’autre.
Le deuxième produit, sous la forme d’un support (façon plaque à induction) branché au secteur, permettra de charger sans fil, un smartphone ou une tablette, voir les deux en même temps. Le chargeur scanne et détecte automatiquement le voltage de vos joujoux afin de les recharger, sans risque de sous-tension ou de sur-tension. Cette nouvelle génération de chargeur ouvre la voix à un standard en terme de chargement, puisqu’il permet de s’affranchir du connecteur micro USB.
L’avenir nous dira si cette technologie deviendra un standard et sera adopté par l’ensemble des constructeurs, dont certains ont déjà sauté le pas. C’est le cas de Nokia avec le Lumia 820, HTC Deluxe (Droid DNA aux US) et le Nexus 4, tous pourvu de la technologie Qi.
Cette information pourrait passer inaperçue, néanmoins elle est très encourageante. En effet, pendant une semaine le HTC J Butterfly est passé devant l’iPhone 5 au Japon.
Le HTC J Butterfly (HTC Droid DNA aux Etats-Unis) est l’emblème de la prochaine génération de smartphones 1080p. Nous n’avons pour le moment pas d’informations sur sa disponibilité en Europe, néanmoins nous l’attendons de pied ferme.
En tout cas cette information, qui peut paraître anecdotique, est tout de même un signal positif pour HTC. Ils ont tout intérêt à ne pas trop tarder pour commercialiser ce mastodonte.
Développé par Google, Android™ a été conçu pour intégrer au mieux les applications existantes de Google tel que le service de courrier, ou celui de cartographie, Google Maps, ou encore Google Calendar, Google Talk et YouTube.
Notre formation a pour but de vous faire découvrir et vous apprendre les nouvelles fonctionalités de ce smartphone :Bureaux virtuels, Widgets, Schémas de verrouillage, Boussole électronique, applications de bureautiques, accès e-mail, agenda pro, etc…
Du fait de son noyau Linux, les programmeurs se dirigent naturellement vers cette plate-forme pour développer leurs applications, de plus Google offre 10 millions de dollars de prime pour les meilleures application Android. On prévoit une multitude d’applications fonctionelles de haute qualité. Notre formation a également pour but de vous familiariser avec l’évolution constante des fonctions d’Android.
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Liste des smartphones utilisant la technologie Android :
HTC Dream, HTC Tatoo, HTC Magic, HTC Hero, HTC Droid Heris, HTC Passion, SciPhone Dream G2, Samsung Galaxy, LG GW620, Motorolla Droid, Motorolla Dext. Huawei U8230, GeeksPhone One, ACER Liquid A1, Sony Ericsson XPeria X10.
Si HTC rime souvent avec Android, le constructeur taïwanais a également été parmi les premières sociétés à proposer des terminaux mobiles sous Windows Phone 7. Pour le lancement d’Apollo, la dernière version de Windows Phone, HTC est à nouveau présent avec les HTC 8S et 8X.
Le 8X est clairement le modèle haut de gamme et a de ce fait comme concurrent direct le Nokia Lumia 920 (notre test).
Lancé le 29 octobre 2012, WP8 apporte de nombreuses fonctionnalités à Windows Phone. L’OS mobile de Microsoft est enfin capable de rivaliser avec Android et iOS. Les constructeurs ne sont pas en reste puisque les processeurs multi-coeurs, le NFC, les cartes microSD et les hautes résolutions d’affichage sont enfin supportés. Examinons comment HTC a pu exploiter tout cela au coeur du 8X.
Dans la boîte
Il n’y avait pas la boîte pour ce modèle de test. Toutefois, l’acheteur d’un HTC 8X retrouvera les éléments suivants :
un HTC 8X
chargeur ac/dc
câble microUSB
petit accessoire pour sortir le charriot dédié à la microSIM
kit mains libres filaire
manuel d’utilisation et garantie
On regrettera l’absence de tags NFC, comme certains constructeurs l’ont fait pour des smartphones Android (LG avec l’Optimus 4X HD ou encore Sony avec des modèles Xperia). Le NFC est pourtant supporté par WP8 même s’il n’y a pas d’appli Microsoft installée par défaut qui l’exploite.
Premières impressions
Au premier coup d’oeil, on est agréablement surpris par l’aspect du terminal. Dans un monde où tous les modèles se ressemblent, celui-ci a ses propres particularités qui le distinguent quelque peu de la concurrence. Le modèle prêté était de couleur noir mais il est également décliné en bleu, jaune et rouge. Au-delà de la couleur (après tout, c’est Nokia qui a lancé la tendance des couleurs vives avec les Lumia), c’est la forme du 8X qui surprend. Les bords sont biseautés et donnent l’impression que le terminal est extrêmement fin. Il ne s’agit que d’une impression puisqu’il légèrement plus épais que les modèles concurrents : 10.12 mm contre 9.1 mm pour le Nexus 4, 7.6 mm pour l’iPhone 5, 8.6 mm pour le S III et 8.9 mm pour le One X.
Cette forme lui permet de conserver l’esthétique propre aux smartphones fins tout en disposant de l’ergonomie, nous le verrons, de modèles plus épais.
Les premiers pas avec le 8X nous laissent entrevoir toute la fluidité propre à Windows Phone. C’est agréable et on est face à un OS mobile très beau et bien pensé. L’écran du 8X met tout cela très bien en valeur.
Après avoir testé plusieurs Windows Phone HTC (sous WP7.5), on se rend rapidement compte avec ce modèle que le constructeur taïwanais a acquis une certaine expérience avec l’OS de Microsoft. On appréciera en particulier la précision de l’écran, possible grâce au support de l’affichage 720p. C’était un des gros bémols sur les premiers Windows Phone. On pense en particulier au HTC Titan sur l’écran duquel (4.7 pouces), la définition faiblarde de 800 par 480 pixels (198 ppp) jurait quelque peu.
Les premières impressions nous font penser qu’il s’agit peut-être là du meilleur Windows Phone à ce jour.
Un petit compartiment permet d’insérer la carte microSIM sur la tranche latérale. Précisons par ailleurs, que le dos est inamovible et la batterie inaccessible. Et contrairement au Nexus 4, il est quasiment impossible de démonter le téléphone sans le détériorer puisque le corps est unibody. C’est vraiment regrettable. Il n’y a donc pas de slot microSD. Il faudra se contenter des 16 Go de Flash interne.
Tour d’horizon
Les spécifications n’ont d’intérêt que lorsqu’elles se traduisent concrètement pour l’usage du téléphone. C’est clairement le cas de l’écran Super LCD 2 de 4.3 pouces qui affiche 1280 par 720 pixels. On se rend bien compte qu’il est impossible de distinguer les pixels. C’est somme toute logique puisque l’écran se caractérise par une densité de pixels de 341.5 ppp. A titre de comparaison, l’iPhone 5, c’est 326 ppp tandis que le Sony Xperia S offre une résolution de 342 ppp.
On notera que les constructeurs (dont HTC) ont déjà (pour certains) sorti des terminaux avec affichag 1080p : HTC J Butterfly, Find 5 d’Oppo et bientôt Sony Xperia « Odin » (tous avec écran de 5 pouces caractérisés par une densité de pixels de 441 ppp !).
WP8 ne supporte pas de telles résolutions. Les Windows Phone seront donc devancés lorsque les écrans 1080p seront plus nombreux (voire généralisés). Le Samsung Galaxy S IV pourrait d’ailleurs disposer d’un tel écran.
Reste à savoir si des résolutions aussi élevées sont pertinentes sur des écrans de 5 pouces.
Apple précise qu’au delà de 326 ppp pour un écran de 3.5 pouces (l’iPhone 5 est donc en dessous du Retina Display défini par Apple puisqu’il conserve 326 ppp pour un écran de 4 pouces), toute augmentation de la densité de pixels est inutile (i.e. l’oeil ne distinguant déjà plus les pixels). Des études tendent à démontrer le contraire mais cela dépend bien entendu de votre acuité visuelle également.
Cette petite digression sur l’écran et non sur le processeur ou sur un autre élément est utile car si les constructeurs mettent encore les bouchées doubles sur les processeurs et les GPU, l’écran et sa résolution font désormais clairement la différence pour l’utilisateur.
Le HTC 8X embarque un SoC Snapdragon de la famille S4 Plus (et non Pro) du constructeur Qualcomm. Précisément, il s’agit du MSM8960 qui intègre un CPU à deux coeurs Krait cadencés à 1.5 GHz et un GPU Adreno 225. On pourra s’étonner qu’aucun des derniers Windows Phone n’embarquent de CPU quad coeurs (on peut même se demander si, en l’état, WP8 les supporte). On pourra également regretter que le GPU ne soit pas le tout dernier de Qualcomm (Adreno 320) tel qu’on le trouve dans le SoC APQ8064 du Nexus 4 (et du LG Optimus G) et du HTC Butterfly, ou encore dans le SoC MSM8960T (variante du MSM8960).
Le SoC est épaulé par 1 Go de RAM et alimenté par une batterie de 1800 mAh. L’autonomie est dans la moyenne des smartphones haut de gamme avec une utilisation « classique ». On aurait pu espérer un peu mieux puisque le terminal dispose d’un écran de 4.3 pouces (contre 4.7 ou 4.8 pouces pour les modèles haut de gamme sous Android) et d’un CPU double coeur. Mais, HTC a diminué en conséquence la taille de la batterie (1800 mAh contre 2100 mAh sur les Samsung Galaxy S III, HTC One X+, Nexus 4…). Le mode « économiseur de batterie », lorsqu’il est activé, permet d’optimiser ce qu’il reste d’autonomie pour les tâches essentielles (ainsi, il empêche les applis de tourner en tâche de fond et éteint les notifications push pour les emails).
Le HTC 8X intègre 16 Go de mémoire Flash interne. Il ne sera pas possible de l’étendre puisqu’il n’y apas d’emplacement pour carte mémoire microSD. Toutefois, elle est étendue virtuellement grâce aux 7 Go de SkyDrive (ou plus pour certains chanceux). L’utilisateur dispose réellement de 14.56 Go (et non 16 Go).
Le 8X se caractérise par un DAS de 0,347 W/kg (la norme européenne impose au maximum 2 W/kg).
Ergonomie
Elle est tout simplement excellente. Le dos incurvé du téléphone épouse parfaitement la paume de la main. Il est en polycarbonate matte et ne glisse pas en main. L’appareil au profil singulier est de surcroît élégant et doté d’une finition de haute volée.
Il est très léger. HTC annonce 130 grammes, un poids qui le place dans la lignée des smartphones haut de gamme du moment qui sont toutefois dotés d’écrans plus grands (Samsung Galaxy S III : 133 g, Nexus 4 : 139 g, HTC One X : 128 g …), derrière l’iPhone 5 (112 g) et devant les Lumia 820 (160 g) et 920 (185 g).
En revanche, les boutons physiques sont très mal conçus. Ils dépassent à peine du téléphone et sont très fins. On les sent donc à peine au toucher. L’ergonomie aurait pu être parfaite sans ce problème ennuyeux. Ils sont en revanche bien positionnés : bouton « ON » sur la tranche supérieure vers la droite, bouton du volume sonore sur la tranche latérale droite et bouton physique également sur la tranche droite (comme sur les précédents Windows Phone signés HTC).
Le connecteur jack audio est situé au sommet du terminal ce qui est pratique pour écouter de la musique, smartphone en poche.
Le microUSB se trouve sur la tranche inférieure.
Connectivité
Autant le dire tout de suite, ce n’est pas forcément le point fort du 8X.
Le fer de lance de HTC fait pâle figure au niveau de sa connectivité cellulaire si on le compare aux modèles Lumia de Nokia. Il se contente du support du GSM dans quatre bandes (850/900/1800/1900 MHz) et du HSPA également dans 4 bandes (850/900/1900/2100 MHz). Pas de 4G LTE, ni même de DC-HSPA (du moins, pour ce dernier, ce n’est pas clairement spécifié sur le site officiel du constructeur), HTC semble s’être contenté du minimum.
Si le NFC (Near Field Communication) est bien supporté, le Bluetooth 4.0 (Bluetooth Low Energy) ne l’est pas (BT 3.1 « seulement »). La géolocalisation se fait via les systèmes américains (GPS) et russes (GLONASS). Le terminal supporte le classique WiFi a/b/g/n.
Spécificités du 8X
Le 8X bénéficie des spécificités propres à Windows Phone. L’accès à la recherche (bouton loupe) est appréciable d’autant plus qu’on peut utiliser l’APN pour reconnaître une couverture de livre, de jeu vidéo, de Bluray ou un code barre (fonctionnalité déjà présente dans WP7 et 7.5). On accède alors à un comparateur de prix sur le net (très pratique lorsqu’on effectue des emplettes).
Comme tous les terminaux sous WP8, le 8X bénéficie d’Internet Explorer 10. C’est un véritable plus par rapport aux Windows Phone d’ancienne génération. On gagne en rapidité même si on notera qu’il n’est possible d’ouvrir que 6 onglets tout au plus. Cela reste toutefois suffisant pour la majorité des utilisateurs.
Le système de tuiles est amélioré et offre plus de personnalisations avec WP8.
Les applications préinstallées par HTC ne sont pas aussi complètes et intéressantes que celles qui le sont par Nokia sur les Lumia. On notera toutefois la présence d’une appli de retouche photo (de filtres en fait) et la lampe torche (pratique mais cela reste un gadget).
Comme de nombreux smartphones HTC, le 8X bénéficie de la technologie Beats. Cela se traduit par un amplificateur puissant en série avec le port audio jack 3.5 mm. Le système peut donc uniquement être activé lorsqu’un casque audio est branché.
Photo et vidéo
Côté photographie, l’APN principal se caractérise par un objectif grand angle de 28 mm avec ouverture f/2.0 et un capteur rétroéclairé (BSI pour backside-illumination) de 8 MPixels. Un processeur d’image lui est dédié. En façade, on trouve un APN de 2.1 MPixels avec ouverture f/2.0 et ultra grand-angle de 88 degrés. Il permet de filmer en 1080p au même titre que l’APN au dos.
L’APN principal permet de prendre d’excellentes photos même en faible luminosité dans la mesure où il s’agit d’un capteur BSI. Il s’agissait d’un point important puisque Nokia a fait fort dans ce secteur avec le Lumia 920.
On peut également filmer en 1080p à 30 ips. Rien à redire de ce point de vue là puisque les vidéos sont plutôt bonnes. Toutefois, filmer en Full HD n’est pas forcément pertinent lorsque la mémoire interne n’est que de 16 Go.
Conclusion
Le HTC 8X est un excellent smartphone. C’est indéniable. Il exploite parfaitement Windows Phone 8 et bénéficie de la qualité de cet OS mobile (agencement, système de tuiles actives…). On regrettera tout de même qu’il ne soit pas possible d’ajouter une carte microSD (comme sur le HTC One X). Il reste cependant difficile de le prendre en défaut. La véritable question est de savoir s’il s’agit d’un meilleur smartphone que le Nokia Lumia 920. Les deux terminaux sont en fait différents et devraient correspondre à des attentes différentes. Le HTC 8X a pour lui son poids et en quelque sorte, on peut dire qu’il est moins atypique que le Lumia 920.
Toutefois, si on le compare aux meilleurs smartphones Android, on peut clairement dire qu’il reste en retrait d’un point de vue des spécificités. On en vient à la comparaison de WP8 et de Jelly Bean. Mais, il s’agit là d’un autre débat qui dépasse le cadre de ce test.
Les plus
excellente prise en main
fluidité incroyable (propre à WP8)
superbe écran avec excellente résolution
support du NFC
design
Les moins
boutons physiques trop peu proéminents
connectivité non complète (pas de BLE, de DC-HSPA…)
quasiment impossible de le démonter (batterie non amovible…)
quelques reboots intempestifs durant ce test
il manque encore des applis importantes (mais cela est propre à WP8)
Source : http://www.presse-citron.net
recherche freelance en IT, bureautique, webdesign, infographie en Belgique, France, Pays-bas, Suisse, Greece
La société taïwanaise HTC revendique devant les autorités américaines la paternité des brevets sur la connexion aux réseaux 4G, utilisés par l’iPad LTE et qu’utilisera vraisemblablement l’iPhone 5.
Les attaques d’Apple contre Samsung ont-ils réveillé le patriotisme asiatique et incité HTC à s’en prendre à la firme à la pomme ? C’est probable. La société taïwanaise a décidé de saisir la Commission internationale du commerce américain pour faire interdire les appareils qui utiliseraient ses brevets sur les méthodes de connexion aux réseaux LTE (Long Term Evolution ou 4G). Depuis quelques heures, nous savons que des appareils actuels ou à venir, d’Apple, comme l’iPad LTE et l’iPhone 5, vont être concernés.
Chez Apple, c’est le branle-bas de combat, surtout depuis que la plainte a été acceptée par le juge chargé de l’affaire, Thomas Bender. La stratégie de défense de l’entreprise américaine consiste à prouver que les deux brevets concernés ont été uniquement acquis pour l’empêcher de se positionner sur la 4G. Un argument que réfute évidemment le taïwanais, qui a en fait l’acquisition en 2011.
La stratégie asiatique d’Apple est menacée
Jamais, les lancements des nouveautés d’Apple ont eu lieu dans un climat aussi hostile. Le procès Apple-Samsung, qui s’est conclu en faveur d’Apple, a enflammé les choses. En ce moment, la société américaine s’apprête à se lancer dans une grande offensive de conquête du marché asiatique qui talonne de près l’Europe (deuxième marché mondial d’Apple).
Au dernier trimestre, les ventes d’Apple en Chine ont marqué une progression de 48 %, pour atteindre un chiffre d’affaires de 5,7 milliards de dollars, ce qui représente plus de 15 % du chiffre d’affaires global (35 milliards). La Pomme a même sélectionné la ville de Dalian pour y installer le plus grand Apple Store de la planète. Lors de la présentation des derniers résultats trimestriels, son vice-président en charge des finances, Peter Oppenheimer, a donc montré un véritable optimisme devant le potentiel commercial que représente l’Asie.
À la suite de cette conférence, un analyste financier a immédiatement fait une communication qui présentait la Chine comme un marché « sans limite » pour Apple. Visiblement, les leaders asiatiques de la high-tech ont l’intention de marquer leur territoire.