Microsoft a renforcé l’intégration des réseaux communautaires au sein de son moteur de recherche Bing avec l’arrivée de Pinterest.
En mai 2011, Microsoft expliquait avoir intégré les interfaces de programmation du réseau Facebook directement au sein de son moteur. Le service embarque également Twitter et les internautes peuvent ainsi filtrer une requête pour ne retourner que les mises à jour de leurs contacts. Pinterest, le réseau communautaire très en vogue actuellement, fait son apparition.
Sur son blog officiel, l’équipe de Bing explique avoir mené une étude sur les usages de son moteur de recherche et notamment en ce qui concerne la section images. Parmi les actions récurrentes, l’éditeur a noté la recherche et le partage de photos. Microsoft a donc décidé de simplifier la publication des images directement sur le réseau de Pinterest.
Cette intégration a été réalisée sur l’édition américaine de Bing et se présente sous la forme d’un bouton de partage lorsque l’internaute clique sur une photo. La publication sur Pinterest comporte un lien vers la source et plus précisément vers le cliché au format original.
Microsoft profite de cette nouveauté pour revenir sur les diverses options de tri (taille, couleur, type ou forme…) de sa recherche d’images et présente alors celle-ci comme un véritable outil pour les adeptes de Pinterest. Rappelons que Yahoo!, le partenaire de Microsoft sur le marché de la recherche, a de son côté intégré un module de partage d’images vers Twitter.
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INSTAGRAM – L’action du géant américain des réseaux sociaux Facebook chutait vendredi, alors que sa filiale de partage de photos Instagram subit depuis une semaine un exode de ses usagers à la suite d’une tentative décriée puis abandonnée de modifier ses conditions d’utilisations.
L’action Facebook perdait ainsi 2,5% à 25,40 dollars à 16 heures (heure française) à Wall Street.
Dans le même temps, le site spécialisé dans l’audience des applications pour appareils mobiles, AppData.com, indiquait qu’Instagram recevait, selon ses dernières mesures, une moyenne de 12,4 millions d’utilisateurs par jour, soit une baisse de 3,5 millions d’utilisateurs par jour en moyenne (-22%) sur les sept derniers jours.
Un « bad buzz » par excellence
Cette chute de l’audience de l’application intervient quelques jours après qu’elle a fait scandale auprès de ses utilisateurs en annonçant une modification de ses conditions d’utilisations qui lui aurait donné la possibilité de se servir dans des publicités des photos de ses utilisateurs sans compensation.
Instagram does not claim ownership of any Content that you post on or through the Service. Instead, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, transferable, sub-licensable, worldwide license to use the Content that you post on or through the Service, except that you can control who can view certain of your Content and activities on the Service as described in the Service’s Privacy Policy, available here:http://instagram.com/legal/privacy/
Émoi dans le Web, depuis qu’Instagram, le service mobile de partage de photos a publié cette nuit ses nouvelles conditions générales d’utilisation, applicables au 16 janvier 2013.
En effet, dans le paragraphe « Rights » de ces nouvelles mentions légales, il est indiqué clairement que si Instagram ne revendique aucune propriété sur le contenu que vous postez sur le service, en revanche vous l’autorisez à utiliser ce que vous publiez de façon non exclusive et libre de droit. Autrement dit, après le 16 janvier, tout ce que vous publiez sur Instagram (à savoir des photos) pourra être monétisé par le service de la façon qui lui plaira, où il lui plaira et avec qui il lui plaira, sans que vous ne puissiez avoir votre mot à dire, ou prétendre à une quelconque rémunération. Seules les photos publiés en mode « privé » seront épargnées par cette éventuelle commercialisation.
Inquiétant ? Affolant ? Révoltant ? Il faut se calmer. Pour trois raisons.
D’une part, aussi énervant que cela puisse être (moi aussi ça m’énerve) vous SAVEZ que quand vous publiez votre contenu sur l’une de ces plateformes, qui plus est filiale de Facebook, il ne vous appartient plus. De toute façon, tout le contenu que l’on publie sur le web est potentiellement reproductible et peut être copié, voire revendu à l’infini sans que l’on puisse réellement en contrôler cette diffusion sauvage, saut à payer des armées d’avocats spécialisés dans la chasse à la contrefaçon, comme le fait par exemple sans relâche – et de façon parfois un peu abusive – Getty Images. En tant que blogueur régulièrement pillé par des agrégateurs à la con et des autoblogs bardés de pub qui font du beurre sur mon dos, j’en sais quelque chose.
D’autre part, à part voir un jour votre belle photo d’arc en ciel sépia (?) reprise dans une publicité (ce qui doit représenter à peu près autant de chances que celle de gagner à l’Euromillion), et donc une belle caresse pour votre ego, que risquez-vous exactement ? De voir votre vie privée violée ? Non, ne me dites pas que vous avez mis des photos privées, intimes et confidentielles sur Instagram ? De ne pas gagner d’argent avec un cliché que de toute façon vous n’avez pas diffusé pour gagner de l’argent ? What.The.Fuck ?
Enfin, si l’on regarde de près les conditions générales actuelles, on remarque que cette clause existe déjà, même si formulée un peu différemment :
Instagram does NOT claim ANY ownership rights in the text, files, images, photos, video, sounds, musical works, works of authorship, applications, or any other materials (collectively, « Content ») that you post on or through the Instagram Services. By displaying or publishing (« posting ») any Content on or through the Instagram Services, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, worldwide, limited license to use, modify, delete from, add to, publicly perform, publicly display, reproduce and translate such Content, including without limitation distributing part or all of the Site in any media formats through any media channels, except Content not shared publicly (« private ») will not be distributed outside the Instagram Services.
En fait, c’est la note sur le blog d’Instagram qui a mis le feu aux poudres et révélé au grand jour quelque-chose que personne n’avait lu jusqu’à présent, mais qui existait déjà. En jouant la transparence, Instagram s’est finalement tiré une balle dans le pied, ou comment créer un problème là où il n’existait pas…
Je ne dis pas que j’approuve ni que ceci soit parfaitement « moral », mais encore une fois quand on bénéficie gratuitement de services qui coûtent des millions à maintenir, il ne faut pas s’étonner ni s’émouvoir de ce genre de clauses, qui vont certainement se multiplier à l’avenir. Rien n’est gratuit, et il faudrait être bien naïf pour penser le contraire.
Et l’éthique alors dans tout ça ? C’est simple : vous êtes prêts à payer un abonnement à Instagram pour garder la propriété exclusive de vos photos ? Dans ce cas montez plutôt un blog. Ou alors il y a de la place pour un service premium privé de partage de photo, payant sur abonnement. Certains d’entre vous mentionnent 500px dans les commentaires. Soit, mais je ne suis pas certain que l’on puisse réellement comparer 500px et Instagram, et encore moins prétendre que le premier est une sorte de version payante du second. C’est pour cette raison que je n’en n’ai pas parlé. Cela étant, ok, 500px permet de mieux gérer ses droits, et de faire directement commerce de ses photos. Et donc adresse un besoin auquel ne répond pas Instagram.
Le partage de photos est au centre d’une guerre impitoyable que se livrent Facebook avec Instagram et Google avec Snapseed mais aussi probablement bientôt Twitter avec ses propres filtres… Sur ce dernier point, la rumeur s’amplifie depuis début novembre et AllThingsD s’appuie sur des sources proches du dossier, selon l’expression consacrée, pour confirmer ses dires.
La société dirigée par Kevin Systrom désirerait effectivement intégrer des filtres photos à ses applis mobiles le plus rapidement possible. Elles arriveraient au gré de mises à jour des applis officielles pour les fêtes de fin d’année.
Des tests seraient actuellement en cours. Ceci expliquerait d’ailleurs pourquoi Jack Dorsey, co-fondateur de Twitter, poste sur Twitter de nombreuses photos filtrées en N&B des employés de sa société Square.
Les fêtes de fin d’année seraient à coup sûr une occasion en or pour que les nouvelles fonctionnalités de filtres photo soient adoptées par les membres du site de microblogage. On repense ainsi au jeudi de Thanksgiving 2012 durant lequel Instagram a battu des records de partage de photos. Noël et la Saint-Sylvestre vont assurément connaître une explosion du nombre de partages de photos. Sur Instagram bien entendu mais également sur Google+ via l’appli Snapseed et peut-être donc via Twitter avec l’apparition de filtres photos.
Il y a quelques jours, Google annonçait la gratuité de Snapseed sur iOS et le lancement de l’appli (également gratuite) pour Android.
On repense dès lors au volte-face d’Instagram vis-à-vis de Twitter. Le site de partage de photos a tout simplement désactivé son support des cartes Twitter empêchant ainsi le « prolongement » du partage des photos sur le site de microblogage (on peut toutefois toujours tweeter le lien). Depuis une semaine, les photos apparaissaient tronquées sur Twitter mais depuis hier, elles n’apparaissent plus du tout (ne subsite que le lien vers la photo sur Instagram). Officiellement, Systrom avançait une volonté de promouvoir le site Web d’Instagram.
La guerre des filtres aura bien lieu. C’est indéniablement un levier de croissance substantiel pour les sites communautaires. D’autant plus que les choses vont s’accentuer en 2013 avec l’arrivée de capteurs BSI de 13 MPixels (Toshiba a d’orées et déjà annoncé le sien), d’écrans 5 pouces 1080p sur les smartphones (HTC Butterfly, Oppo Find 5, Sony Xperia Odin et peut-être même Samsung Galaxy S IV) et la commercialisation déjà d’APN tournant sous Android (Nikon Coolpix S800c et Samsung Galaxy Camera) supportant le WiFi et parfois même la 3G.
Source : http://www.presse-citron.net
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Les photos d’Instagram apparaissaient en vignettes dans les Tweets contenant un lien vers le site de partage de photos. Mais c’est maintenant de l’histoire ancienne puisqu’Instagram ne le permet désormais plus.
Ce sont les Twitter Cards apparues fin juin 2012 qui donnent la possibilité aux sites partenaires de Twitter d’enrichir leurs URLs lorsqu’elles sont tweetées. Les tweets deviennent alors tweets étendus au gré de ces cartes qui peuvent prendre la forme d’un résumé, d’un lecteur multimédia ou encore d’une photo. Instagram avait activé la fonction Twitter Cards.
Mais le site de partage de photos a fait un pas en arrière en les désactivant. Les utilisateurs ne sont plus en mesure de voir les photos directement dans les tweets. Celles-ci peuvent apparaître parfois tronquées.
Les nombreuses personnes à la fois utilisatrices de Twitter et d’Instagram perdent donc cette possibilité.
Toutefois, Kevin Systrom, le PDG de Twitter, a déclaré durant la conférence LeWeb qui se tient à Paris, que ce changement n’était aucunement lié à la récente acquisition de la société par Facebook. Il s’agirait plutôt de promouvoir le propre site web d’Instagram.
Twitter ne pourra pas blâmer Instagram puisque la société procède de la même manière en adaptant son API afin de favoriser la fréquentation de son propre site Web (et de ses applis mobiles) au détriment des clients tiers.
Où l’on repense à l’intérêt que Twitter portait à Instagram avant que la startup n’entre finalement dans le giron du Social Network.