FORMATION ADOBE PHOTOSHOP DÉBUTANT CC – PAO / WEBDESIGN / INFOGRAPHIE
Photoshop est un logiciel faisant partie de la suite Adobe, vous permettant de retoucher vos photos, de créer des Wallpapers, et encore beaucoup d’autres possibilités visuelles…
Considéré par beaucoup comme la référence en matière de traitement visuel, Photoshop est un logiciel de PAO, édité par Adobe. S’il est principalement utilisé pour le traitement de photographies numériques, il est également adapté à la création d’images à partir d’une feuille blanche. Il possède son propre format de fichier (PSD) mais il sait aussi importer et exporter des formats de fichier plus courants (GIF, JPEG, TIFF, PNG, etc.).
OBJECTIFS
A la fin du cours, le participant sera capable de :
– Retoucher une photo (photographe), – Préparer une photo pour le web, – Travail des images et des calques, – Travailler / Retoucher les images, – …
CONTENU
– Définition Adobe Photoshop – Présentation de l’image, – Gestion des couleurs, – Manipulation des images, – Les modes, – Corrections chromatiques, – Les corrections physiques, – La sélection, – Les tracés, – Les combinaisons d’images, – Les calques, – Le texte, – Formes / Motifs, – Filtres et automatisation des tâches, – Enregistrement et formats de fichiers, – Les exportations d’images, – …
Professionnels de la mise en page : Infographistes, Chargés de communication, Webmasters, Webdesigners….
Objectifs :
Mettre à jour vos connaissances sur les nouveaux outils et fonctions de Photoshop CS6.
Pré-requis :
Connaître l’environnement Windows ou Mac OS ;
Avoir suivi le cours » G130-010 – Adobe Photoshop : connaître les fondamentaux de la retouche et du montage photographique « , ou posséder les connaissances et compétences équivalentes.
Instagram does not claim ownership of any Content that you post on or through the Service. Instead, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, transferable, sub-licensable, worldwide license to use the Content that you post on or through the Service, except that you can control who can view certain of your Content and activities on the Service as described in the Service’s Privacy Policy, available here:http://instagram.com/legal/privacy/
Émoi dans le Web, depuis qu’Instagram, le service mobile de partage de photos a publié cette nuit ses nouvelles conditions générales d’utilisation, applicables au 16 janvier 2013.
En effet, dans le paragraphe « Rights » de ces nouvelles mentions légales, il est indiqué clairement que si Instagram ne revendique aucune propriété sur le contenu que vous postez sur le service, en revanche vous l’autorisez à utiliser ce que vous publiez de façon non exclusive et libre de droit. Autrement dit, après le 16 janvier, tout ce que vous publiez sur Instagram (à savoir des photos) pourra être monétisé par le service de la façon qui lui plaira, où il lui plaira et avec qui il lui plaira, sans que vous ne puissiez avoir votre mot à dire, ou prétendre à une quelconque rémunération. Seules les photos publiés en mode « privé » seront épargnées par cette éventuelle commercialisation.
Inquiétant ? Affolant ? Révoltant ? Il faut se calmer. Pour trois raisons.
D’une part, aussi énervant que cela puisse être (moi aussi ça m’énerve) vous SAVEZ que quand vous publiez votre contenu sur l’une de ces plateformes, qui plus est filiale de Facebook, il ne vous appartient plus. De toute façon, tout le contenu que l’on publie sur le web est potentiellement reproductible et peut être copié, voire revendu à l’infini sans que l’on puisse réellement en contrôler cette diffusion sauvage, saut à payer des armées d’avocats spécialisés dans la chasse à la contrefaçon, comme le fait par exemple sans relâche – et de façon parfois un peu abusive – Getty Images. En tant que blogueur régulièrement pillé par des agrégateurs à la con et des autoblogs bardés de pub qui font du beurre sur mon dos, j’en sais quelque chose.
D’autre part, à part voir un jour votre belle photo d’arc en ciel sépia (?) reprise dans une publicité (ce qui doit représenter à peu près autant de chances que celle de gagner à l’Euromillion), et donc une belle caresse pour votre ego, que risquez-vous exactement ? De voir votre vie privée violée ? Non, ne me dites pas que vous avez mis des photos privées, intimes et confidentielles sur Instagram ? De ne pas gagner d’argent avec un cliché que de toute façon vous n’avez pas diffusé pour gagner de l’argent ? What.The.Fuck ?
Enfin, si l’on regarde de près les conditions générales actuelles, on remarque que cette clause existe déjà, même si formulée un peu différemment :
Instagram does NOT claim ANY ownership rights in the text, files, images, photos, video, sounds, musical works, works of authorship, applications, or any other materials (collectively, « Content ») that you post on or through the Instagram Services. By displaying or publishing (« posting ») any Content on or through the Instagram Services, you hereby grant to Instagram a non-exclusive, fully paid and royalty-free, worldwide, limited license to use, modify, delete from, add to, publicly perform, publicly display, reproduce and translate such Content, including without limitation distributing part or all of the Site in any media formats through any media channels, except Content not shared publicly (« private ») will not be distributed outside the Instagram Services.
En fait, c’est la note sur le blog d’Instagram qui a mis le feu aux poudres et révélé au grand jour quelque-chose que personne n’avait lu jusqu’à présent, mais qui existait déjà. En jouant la transparence, Instagram s’est finalement tiré une balle dans le pied, ou comment créer un problème là où il n’existait pas…
Je ne dis pas que j’approuve ni que ceci soit parfaitement « moral », mais encore une fois quand on bénéficie gratuitement de services qui coûtent des millions à maintenir, il ne faut pas s’étonner ni s’émouvoir de ce genre de clauses, qui vont certainement se multiplier à l’avenir. Rien n’est gratuit, et il faudrait être bien naïf pour penser le contraire.
Et l’éthique alors dans tout ça ? C’est simple : vous êtes prêts à payer un abonnement à Instagram pour garder la propriété exclusive de vos photos ? Dans ce cas montez plutôt un blog. Ou alors il y a de la place pour un service premium privé de partage de photo, payant sur abonnement. Certains d’entre vous mentionnent 500px dans les commentaires. Soit, mais je ne suis pas certain que l’on puisse réellement comparer 500px et Instagram, et encore moins prétendre que le premier est une sorte de version payante du second. C’est pour cette raison que je n’en n’ai pas parlé. Cela étant, ok, 500px permet de mieux gérer ses droits, et de faire directement commerce de ses photos. Et donc adresse un besoin auquel ne répond pas Instagram.
centre de formation bruxelles – jl gestion – inkscape
Inkscape est un outil de dessin puissant et simple d’utilisation, totalement conforme aux standards XML, SVG et CSS. Logiciel libre d’édition de graphismes vectoriels, Inkscape est doté de capacités similaires à Illustrator, Freehand, CorelDraw ou Xara X, utilisant le format de fichiers Scalable Vector Graphics (SVG) standard du W3C.
Les fonctionnalités supportées du format SVG incluent les formes, les chemins, le texte, les marqueurs, les clônes, les canaux alpha, les transformations, les motifs et les groupements.Inkscape supporte également les méta-données Creative Commons, l’édition de nœuds, les couches, les opérations de chemins complexes, la vectorisation des bitmaps, le texte suivant des chemins, le texte contournant des objets, l’édition XML directe et beaucoup plus.
Il peut importer des formats tels que le Postscript, EPS, JPEG, PNG et TIFF, et exporte en PNG ainsi qu’en de nombreux formats vectoriels.
INKSCAPE DEBUTANT
PRE-REQUIS
Avoir suivi la formation « Operating System – Windows »
*Il est conseillé de suivre le cours de photoshop avant ce cours.
En guise d’introduction aux vecteurs et courbes de Bézier.
OBJECTIFS
A la fin du cours, le participant sera capable de produire simplement et rapidement des visuels, graphiques, diagrammes, logos ou icônes.
CONTENU
– Les formes vives et outils
– Ajouter du texte
– Transformer les formes
– Optimiser les répétitions
– Utiliser les calques
– L’outil Bézier et les noeuds
– Choisir des couleurs
– Les images matricielles
– les masques
– Applications
– …
DUREE
2 Jours de formation
PRIX
Notre particularité est de faire des cours sur mesure,
donc le programme de cours énoncé ci-dessus s’adapte différement
selon la personne concernée !
Centre formation Bruxelles, Anvers, Liège, Namur, Gent
A la fin du cours, le participant sera capable de comprendre, d’utiliser le logiciel et d’acquérir une méthodologie de travail efficace avec Photoshop. Afin de réaliser rapidement des retouches destinées à la photographie.
CONTENU
– Mode/Résolution/extension
– Retoucher une photo (teinte, saturation/désaturation, netteté/ flou, luminosité)
– Nettoyer la peau sur le visage (rides, cernes, taches)
– Utilisation des masques
– Récupérer une photo
– Changer la couleur
– Transformer la photo en sépia, noir & blanc…
– Travailler / Retoucher les images,
– …
DUREE de la Formation Adobe PHOTOSHOP Photographe
1 Jour de formation
PRIX de la Formation Adobe PHOTOSHOP Photographe
Notre particularité est de faire des cours sur mesure,
donc le programme de cours énoncé ci-dessus s’adapte différement
selon la personne concernée !
recherche freelance en IT, bureautique, webdesign, infographie en Belgique, France, Pays-bas, Suisse, Greece
Personnes voulant parfaire leur maîtrise de Photoshop à l’aide des couches et des masques.
Objectifs :
Maîtriser les couches et les masques.
Détourer des photos, même difficiles.
Appliquer des réglages colorimétriques évolués.
Réaliser des photos noir et blanc élaborées.
Pré-requis :
Connaître l’environnement Windows ou Mac OS.
Avoir une bonne expérience de Photoshop ou avoir suivi le cours « G130-010 – Adobe Photoshop : connaître les fondamentaux de la retouche et du montage photographique ».
Chez Instagram cette nuit on a dû sentir le vent chaud du boulet souffler sur les nuques : à quelques mois près, qui sait si cette annonce n’aurait pas tué la startup, qui entretemps a eu la bonne idée de se vendre à Facebook pour un peu plus de 750 millions de dollars.
Après qu’il est devenu impossible de visualiser directement des photos Instagram dans le flux Twitter, le site de microblogging vient de lancer officiellement les filtres, qui vont permettre de retoucher ses clichés dans Twitter. Développée en collaboration avec Aviary, qui proposait déjà une application… pour Facebook, la nouvelle fonctionnalité de filtres et effets dans Twitter est disponible après une mise à jour de l’application iOS et Android[1].
Avec cette nouvelle option embarquée nativement dans Twitter, à laquelle nous nous attendions un peu, il est possible d’améliorer le rendu (luminosité, contraste, précision), de recadrer (rogner) une photo, et bien sûr d’appliquer toutes sortes de filtres ou effets sur celle-ci. Le processus est simple et intuitif, et permet de poster facilement une photo retouchée à partir de son smartphone.
Une grosse pierre dans le jardin d’Instagram, et par ricochet de Facebook. Cela étant, les habitués d’Instagram ne changeront peut-être pas aussi radicalement et rapidement leurs habitudes : ce qui se passe sur Instagram reste sur Instagram, et il est fort à parier que de nombreux membres de ce réseau n’auront aucune envie de diffuser leurs photos – ou en tout cas toutes leurs photos – sur Twitter. Mais pour les autres…
[1] au moment où j’écris ceci, la mise à jour n’est pas disponible sur l’App Store français, je n’ai pas testé sur le Play Store, n’ayant pas mon smartphone Android avec moi.
Evoquée dans nos colonnes le 18 septembre 2012, l’acquisition de Nik Software par Google n’a pas tardé à se concrétiser. Dans une contribution blog, Vic Gundotra, vice-président de Google, annonce le lancement de l’application Snapseed pour Android et la mise à jour de la version iOS.
De surcroît, l’appli est gratuite sur les deux plates-formes.
On pourrait parler de rapidité, voire d’urgence, tant Google a été rapide pour proposer une version Android de Snapseed.
Facebook s’est offert Instagram et Google a maintenant Snapseed avec tout de même des différences. En effet, Nik Software est spécialisée dans le traitement logiciel des images avec une orientation à mi-chemin entre le grand public et le monde professionnel. C’est cette singularité sur laquelle Google désire communiquer avec le lancement de Snapseed pour Android et la volonté de la démocratiser puisqu’elle devient gratuite sur iOS (et lancée gratuitement sur Android).
Snapseed avait été nommée application iPad de l’année 2011. Elle offre des possibilités beaucoup plus avancées qu’Instagram mais reste plus simple à utiliser que Photoshop Touch. Mettre à la portée de tous une application complète, promesse de créativité, tel est l’objectif (photo) de Google.
L’appli est dotée d’une intégration de Google+ avec notamment le support natif d’Instant Upload. La version iOS gagne, elle, quelque filtres supplémentaires.
L’appli Sanpseed propose des réglages standards (recadrer, redresser…), créatifs (filtres N&B, « Drama » et « Vieux films » qui peuvent être appliqués à une ou plusieurs photos simultanément). Mais surtout, elle offre la technologie Control Point qui permet d’accentuer facilement des parties spécifiques de vos photos (éclairer un visage, accentuer la couelru du ciel…).
Google part du principe qu’une « belle photo, ça ne se prend pas, ça se fabrique ». Snapseed avec le savoir-faire de Nik Software est là pour ça et devrait rameuter les foules sur Google+. Les smartphones de nouvelle génération seront équipées d’APN plus performants (13 Mpixels, stabilisation optique…) pour lesquelles une appli sophistiquée mais utilisable à la volée pourrait s’avérer incontournable maintenant que les mobinautes ont goûté à Instagram. Reste à voir comment Facebook répondra à Google et fera évoluer Instagram. Un mano a mano qui se joue donc sur le terrain de la photo numérique et de son partage, élément fédérateur s’il en est des réseaux sociaux.
Snapseed pour Android est dès à présent disponible gratuitement sur le Google Play et la version mise à jour (v 1.5) l’est également sur l’App Store.
On ne sait pas encore précisément quoi ni pour quels usages, mais on pressent que l’impression 3D risque bien d’être l’une des next big things des années à venir.
Certaines startups l’ont déjà compris, et investissent ce marché prometteur en proposant divers services. C’est le cas notamment avec l’Omote 3D Shashin Kan, une sorte de photomaton d’un nouveau genre, qui permet de se faire tirer non seulement le portrait mais l’anatomie complète, et d’obtenir quelques temps après sa statue personnelle hyper réaliste sous forme de figurine en résine, habillée, et en couleur.
Le processus de captation de votre silhouette à l’aide d’un scanner 3D prend environ 15 minutes pendant lesquelles il vous sera vivement recommandé de bouger le moins possible si vous ne voulez pas ressembler à un Picasso en relief. Mais bon pour une fois que l’on passe au scanner ailleurs que dans un hôpital ou dans un aéroport, on peut bien tenir un quart d’heure sans sourciller, hein. Quand on s’aime, on ne compte pas.
Ensuite, votre image 3D est travaillée à l’ordinateur, puis les détails, et notamment les vraies couleurs (peau, vêtements, cheveux…) sont appliquées manuellement, et votre statuette vous est expédiée dans le mois qui suit, dans trois formats au choix, 10, 15 ou 20 centimètres. Oui, à l’heure du temps réel, c’est un peu long, surtout pour un service qui a pignon sur rue, et duquel l’on pourrait s’attendre à obtenir son effigie immédiatement et repartir avec.
Le premier photomaton 3D ouvrira ses portes le 14 janvier 2013 au Japon.
L’appli 500px pour iPad jouit d’un très grand succès avec 50% des 1.5 million de membres inscrits l’utilisant. L’écran de l’iPad est parfaitement adapté pour visualiser les photos partagées sur le site. Mais Oleg Gutsol, le PDG de 500px, estime qu’un support de l’iPhone est également pertinent. Nul doute que les usages seront différents. Ainsi, sur iPad, les sessions dépassent les 40 minutes
alors sur iPhone, elles ne devraient pas excéder 5 minutes, selon Gutsol, comme c’est déjà le cas avec la version Android développée pour les écrans des smartphones.
L’appli iOS 500px devient universelle (support conjugué de l’iPad et de l’iPhone) un an seulement après que la version pour iPad ait été lancée.
L’interface adopte le noir et blanc afin de s’effacer au profit des photos. La barre de navigation en haut de l’écran permet d’accéder aux différentes fonctions de l’appli. Plusieurs menus déroulants sont ainsi présents.
Sous « 500 », on accède à « Notifications », « Paramètres », « Guide » et « Trouver des amis ». La petite icône de photo s’ouvre sur « Accueil », « Photos » et « Votre profil ». Enfin, l’onglet « Populaire » donne accès à « Choix de l’éditeur », « A venir », « Nouveau » et « Rechercher ».
Oleg Gutsol précise que l’appli utilise un algorithme développé à partir de la technologie d’Algo Anywhere, société acquise par 500px. « Nous avons un algorithme qui détermine la meilleure photo et aussi les personnes et les photographes intéressants. »
On regrettera l’impossibilité d’uploader des photos directement depuis son iPhone. La fonctionnalité arrivera toutefois dans une prochaine version. Car contrairement aux idées reçues, Gutsol estime qu’entre 5% et 10% des utilisateurs de 500px sont des professionnels. Il y a surtout beaucoup d’amateurs avertis mais tous ne sont pas dotés de DSLR. Ouvrir la plate-forme de partage de photos à des clichés pris depuis des iPhone est aussi un levier de croissance pour la société qui est probablement incontournable.
L’appli 500px est dès à présent disponible gratuitement sur l’App Store.
Source : http://www.presse-citron.net
recherche freelance en IT, bureautique, webdesign, infographie en Belgique, France, Pays-bas, Suisse, Greece
Pour un objet, il est conseillé d’utiliser l’extraction. Pour cela, cliquez sur le menu Filtre > Extraire et marquez grossièrement le contour de votre objet à l’aide du marqueur. Sachez que vous pouvez régler ses options à votre convenance. Améliorez votre contour à l’aide de la Gomme et sélectionnez la zone à extraire avec l’outil remplissage. Pour cela, cliquez au milieu de la zone que vous avez contournée et faite OK. Comme vous pouvez le constater, votre objet est maintenant détouré.
Cet outil est plus utile pour faire le détourage d’un paysage par exemple. C’est pour cela que nous avons pris ici l’exemple d’un ciel.
Cliquez sur l’outil Magique puis sélectionnez la zone à extraire. Ce n’est pas toujours évident pour une sélection qui a de nombreuses nuances de couleurs. Pour cela, vous devez jouer sur la tolérance de l’outil ou directement travailler dans l’onglet Couches et sélectionner l’une des plus simples à travailler. Une fois votre sélection faite, cliquez sur Sélection > Invertir. La zone que vous conservez sur votre image sera sélectionnée, et le reste pourra être retiré.
Double cliquez sur l’image se trouvant dans le calque pour la faire passer dans ce mode puis ajoutez un Masque de fusion (troisième bouton en bas de la fenêtre Calque). Votre image est dorénavant privée de ciel.
Nous allons pouvoir ajouter n’importe quel fond, ici un ciel étoilé. Ouvrez votre nouveau fond, utilisez la fonction Déplacement et faites glisser l’image sur la précédente, désormais détourée. Si l’image est plus petite, vous allez pouvoir travailler les dimensions en cliquant sur la combinaison Ctrl+T. Inversez alors votre premier calque détouré sur celui du dessus pour une meilleure intégration, et admirez le résultat.
Cet outil est essentiel pour un détourage rapide et précis sur les photos sensibles. Ouvrez votre image, et créez directement un nouveau calque (Calque > Nouveau Calque). Placez ensuite votre photo au-dessus du nouveau calque. Sélectionnez l’outil Gomme et choisissez pour débuter un gros diamètre afin d’enlever le plus gros de la photo. N’hésitez pas à varier les diamètres de cet outil au fur et à mesure. Une fois que vous avez fini, zoomer sur les zones à affiner sur votre image pour un résultat plus propre. C’est un travail qui demande minutie et patience…
Une fois votre image détourée, vous pouvez en faire ce que vous voulez, ici nous avons mis la rédaction en vacance.