De la pub encore et encore.. Twitter et Facebook misent sur ses pubs ciblée !

La stratégie marketing des réseaux sociaux se précise encore avec des publicités ultra ciblées au coeur du fil d'actualités des utilisateurs. Des projets qui vont rapporter gros aux sites.

Cela fait déjà quelques mois que les messages «sponsorisés» ont envahi la «timeline» (fil d’actualité) des utilisateurs de Twitter et Facebook. Des publicités plus ou moins fréquentes, glissées, l’air de rien, entre le dernier statut de la voisine et la photo du chien du cousin. L’introduction s’est faite en douceur et n’a finalement pas provoqué de scandale chez les internautes jusqu’alors dépourvus de ce type de sollicitations des annonceurs.

Les internautes ciblés grâce aux mots de leurs tweets

Mais voilà, il ne saurait y avoir de succès du net sans une stratégie marketing très développée. Alors ce mercredi, Twitter a autorisé les publicitaires à cibler les éventuels clients en fonction des mots utilisés dans leurs tweets. Dès lors, des messages «contextualisés» apparaissent automatiquement dans le fil des internautes. Ainsi, en plus d’être «ciblés» par des algorithmes déjà utilisés par le réseau (en fonction de leur profil), ils sont désormais sollicités «au bon moment», détaille Twitter sur son blog. Et ce, grâce à des outils («Ads UI» et «Ads API») mis à disposition des annonceurs du site à «plus de 200 millions d’utilisateurs actifs de Twitter sur le web, sur les appareils mobiles et tablettes», précise le réseau.

Côté Facebook, des messages publicitaires se sont également introduits dans le flux d’actualités des utilisateurs. Mais le réseau fait actuellement des tests pour balancer, d’ici le mois de juin ou juillet, des vidéos très ciblées en fonction des goûts des inscrits. Outre les renseignements enregistrés par les utilisateurs eux-mêmes dans leur profil ou les groupes auxquels ils appartiennent, le site a d’ores et déjà perfectionné son ciblage grâce aux boutons «like» intégrés sur d’autres sites, marchands ou non. Par exemple, sur cet article du Parisien.fr, que vous pouvez «recommander» à vos amis sur Facebook.

Des stratégies qui peuvent rapporter gros

Selon le site AdAdge, Facebook espère que ses vidéo-annonces lui rapportent en moyenne un revenu de 4 millions de dollars par jour. Soit environ 3 millions d’euros. Reste à définir le format de ces nouvelles pubs mais certains annonceurs se battraient déjà pour avoir leur place au lancement.

Pour sa part, Twitter assure qu’il ne compte pas diffuser plus de tweets sponsorisés qu’actuellement. En revanche, avec un service plus précis, le réseau espère mieux vendre cette fonctionnalité aux annonceurs. Selon le site belge BeGeek, la publicité pourrait rapporter 1 milliard de dollars (766 millions d’euros) au site en 2014. L’an passé, la publicité a rapporté 350 millions de dollars (environ 268 millions d’euros) au site. Le cabinet eMarketer estime qu’il devrait doubler ce chiffre en 2013 pour atteindre «582 800 000 de dollars en recettes publicitaires mondiales en 2013» (environ 446 480 000 euros). De belles progressions économiques en perspective.

Source : http://www.leparisien.fr/high-tech/twitter-et-facebook-misent-de-plus-en-plus-sur-la-pub-ciblee-18-04-2013-2737831.php

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La future page Facebook pour couples.


Le réseau social va proposer à ses utilisateurs «en couple» d’unir leur profil dans une page dédiée. Une initiative qui soulève beaucoup de questions sur le Net.

Facebook s’immisce toujours un peu plus dans l’intimité de ses utilisateurs. Le 8 novembre, le réseau social de Mark Zuckerberg a signalé l’arrivée prochaine d’une page exclusivement dédiée aux utilisateurs ayant un statut «en couple».

Les informations du couple centralisées
Les utilisateurs ne vont plus pouvoir se contenter d’afficher leur statut amoureux sur Facebook. De «célibataire», à «c’est compliqué», ceux s’étant déclarés mutuellement «en couple» vont bientôt disposer de leur propre «Timeline amoureuse». Permettant de fusionner les informations liées à la relation, toutes les activités du couple sur le réseau social y seront répertoriées. Deux partenaires s’étant identifiés «en couple», se verront, en plus de leur profil respectif, associés automatiquement sur une page commune. À l’heure actuelle, le réseau social n’a pas précisé comment éviter la création de cette page. Ne plus s’identifier «in a relationship» avec son partenaire semble l’unique solution.

Facebook préfère parler d’un nouveau look des pages «amitié» qui vont intégrer le format «Journal». Ces «friendship pages», regroupent les interactions entre deux amis sur le réseau. Elles sont accessibles sur les profils de vos amis depuis l’onglet «Voir les liens d’amitié». Là encore, pas plus de détails ne sont dévoilés par Facebook sur l’apparence et le paramétrage de cette page. Il sera possible d’y contrôler les informations comme sur son historique personnel. Pour visualiser son futur journal intime amoureux, il faut se rendre à l’adresse suivante: http://www.facebook.com/us. Ce lien fonctionne à condition d’avoir renseigné le nom de son partenaire.

La question épineuse des «ex»
À peine lancée, l’initiative fait déjà beaucoup parler sur le Net. Certains s’inquiètent des problèmes de confidentialité, car beaucoup de flous subsistent sur la gestion des paramètres. Le blog du Modérateur s’interroge sur la visibilité de cette nouvelle page. «Est-ce que cela veut dire que l’on pourra rendre publique cette page?». Plusieurs niveaux de visibilité des contenus existent sur Facebook, entre «amis», «amis des amis» ou «tous».

Pour d’autres, Facebook franchit un pas supplémentaire dans l’intrusion dans la sphère intime. Les utilisateurs «en couple», ont-ils envie de fusionner leurs interactions sur cette nouvelle page, et comment vont-ils gérer leurs données communes? Entre indiquer qu’on est dans une relation et avoir l’intention d’en exposer le contenu virtuel aux yeux des autres, il y a une nuance. Cette nouvelle page risque en effet de relancer la polémique de la gestion des données privées sur Facebook. Le site Konbini interpelle: «Ce que nous postons avec fierté aujourd’hui sera peut-être notre fardeau de demain.»

Se pose aussi la question épineuse des «ex». Ainsi, Le Journal du Geek se demande: «Si votre ex fait toujours partie de vos amis, vous allez pouvoir vous lamenter ou vous réjouir sur la page?» Et si on divorce? Terrafemina ironise: «Comme pour les décès, il faudra sans doute envoyer en recommandé un certificat de divorce pour que le réseau social daigne faire disparaître les preuves de votre échec sur la Toile.»

Un «contrôle social» intensifié
Pourquoi Facebook veut-il obliger les couples à s’afficher mutuellement? Sur le Nouvel Obs , le sociologue Olivier Glassey, spécialiste des réseaux sociaux, critique «la vision normative de la famille» à travers cette nouvelle dimension apportée au couple sur le réseau social. Dans cet espace où «s’exerce une forme de contrôle social», il considère que Facebook «propose sa propre interprétation de ce que c’est que fonder un couple, voire une famille: il faut être deux, il faut s’afficher, se tenir par la main informationnelle en exposant ensemble les contenus partagés le long des lignes de vie»

Pas de crainte pour les «célibataires», ou pour ceux n’ayant pas précisé le nom de leur partenaire, Facebook n’a pas encore conçu une page avec une âme sœur imaginaire. facebook.com/us renverra simplement vers la page «À propos» de votre compte Facebook.

Source : http://www.lefigaro.fr

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A la différence de ses concurrents (comme Deezer, Spotify ou encore Rdio), Grooveshark permet à ses utilisateurs d’uploader des musiques sur son site.

Depuis 2007, Grooveshark a fait du chemin. Vous connaissez sûrement ce site de streaming musical attaqué par les majors, et de tous les côtés.

Bon, il faut dire qu’ils l’ont bien cherché tant ils enfreignent les lois concernant les droits d’auteur. A la différence de ses concurrents (comme Deezer,Spotify ou encore Rdio), Grooveshark permet à ses utilisateurs d’uploader des musiques sur son site. Autant vous dire que, comme Youtube, Grooveshark est donc par définition le lieu de la violation de tous les droits (audios hein, ça suffira).

tumblr mc0zzyRuiG1qz9n0k Le tout nouveau Grooveshark : site de streaming à la mode... Cest lHebdo Musique et Web

Mais qu’à cela ne tienne, le site revendique aujourd’hui plus de 30 millions de visiteurs uniques par mois, et ce n’est qu’un début !

Le service de streaming tient son succès notamment de son interface, très ergonomique et des plus optimales pour écouter de la musique en ligne… Et c’est encore plus le cas depuis cette semaine.

Grooveshark vient tout juste de mettre à jour son interface et son player web pour notre plus grand plaisir. Au programme : une facilité pour nous, auditeurs, de découvrir de nouveaux artistes que nous pourrions aimer. Vous pourrez suivre ces derniers pour être au courant de leurs dernières sorties (pratique !) sans lever le petit doigt et créer des playlists à partager avec vos amis.

Bon jusque là, rien de très innovant. Deezer et Spotify, les deux concurrents directs du service, proposent des services similaires.
Au delà de sa librairie très dense, Grooveshark propose une interface agréable à souhait. Vous pouvez à tout moment prendre et déposer un morceau dans votre player online situé en bas de page pour l’écouter. La nouvelle version permet aussi une optimisation du partage de chaque morceau, album et playlistFacebookTwitter, Google+, attendez-vous à voir de plus en plus de liens provenant du site au requin groovy.

Grooveshark Home 700x325 590x273 Le tout nouveau Grooveshark : site de streaming à la mode... Cest lHebdo Musique et Web

Gros point positif : l’équipe Grooveshark encourage les artistes indépendants à s’inscrire sur la plateforme afin de gérer leur propre profil, chose impossible sur Deezer ou Spotify. De quoi ravir les fans de musique indie en tout genre ou de groupes amateurs locaux. Seul petit problème : il va falloir à présent que la recommandation d’artistes soit des plus efficaces. Trop d’artistes engendrera sûrement une difficulté majeure pour la qualité des possibles découvertes. J’espère que les administrateurs de Grooveshark seront efficaces pour trier au mieux tout ça et nous faire découvrir de bons artistes émergents qui ne demanderaient qu’à envahir notre iPod.

Bref, tout ça promet et la concurrence au niveau du streaming musical risque de s’intensifierencore et encore (si c’est possible) entre Deezer, qui vient de lever 100 millions d’eurosSpotify qui s’apprête à lancer sa version navigateur et Grooveshark qui fait peau neuve et tente de se mettre sur le chemin de la légalisation.

Capture d’écran 2012 10 19 à 22.33.40 1024x643 Le tout nouveau Grooveshark : site de streaming à la mode... Cest lHebdo Musique et Web

Affaire à suivre, mais une chose est sûre, on ne sera pas en manque de sons ces prochaines années !

Vous pouvez tester la nouvelle version de Grooveshark ici.


3 CHIFFRES SUR GROOVESHARK

30 millions

Il s’agit du nombre d’utilisateurs actifs par mois.

1,5 milliards $

Vous avez bien lu… Il s’agit de l’amende record réclamée par Universal comme dommages et intérêts pour violation des droits sur leur catalogue. Heureusement pour Grooveshark, la justice n’a pas retenu les arguments de la major. Ils ont eu chaud !

1,2 milliards

Soit le nombre d’écoutes par mois sur la plateforme de Grooveshark.

A propos de l’auteur : Quentin-Lechemia Le tout nouveau Grooveshark : site de streaming à la mode... Cest lHebdo Musique et Web
Chroniqueur Digital Music pour Presse Citron et fondateur de la startup My Band Market, Quentin Lechemia est aussi musicien, codeur et observateur éclairé des nouvelles technologies.Vous pouvez le suivre sur Twitter et le contacter par email.
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Facebook : les utilisateurs peuvent payer pour être plus visibles uniquement aux Etats-Unis

 

Source: http://www.journaldunet.com/media/publishers/facebook-posts-sponsorises-1012.shtml

Facebook : les utilisateurs peuvent payer pour être plus visibles

 

Aux Etats-Unis, les utilisateurs du réseau social peuvent désormais booster la visibilité de leurs publications moyennant finance.

Facebook- publicité-en-ligne

Désireux de capitaliser sur une audience qui ne cesse de grimper et vient officiellement de dépasse le milliard d’utilisateurs actifs par mois, Facebook multiplie les annonces concernant ses décisions en matière de monétisation. Dernier projet en date, la possibilité pour les utilisateurs du réseau social de payer pour assurer une meilleure visibilité à leurs posts. Un service qui a d’abord été lancé en Nouvelle-Zélande en mai et qui fait donc son apparition aux Etats-Unis.

 

Ce système, qui n’est pas sans rappeler le système des « tweets sponsorisés », sera par la suite étendu aux utilisateurs de plus de 20 pays, explique Facebook dans une note de blog.« Chaque jour, les fils d’actualités relaient vos posts auprès de vos amis. Parfois, un ami en particulier a pu ne pas repérer votre publication, surtout lorsque nombre de ses amis ont également posté quelque chose », justifie le réseau social. Un moyen évident de concilier l’utile et le rentable.

Scoop.it – nouvelle version et interface totalement repensée

 

Scoop.itla plateforme toulousaine de publication par curation, c’est à dire par sélection, éditorialisation et partage de contenus déjà existants,lance sa nouvelle version avec un dashboard totalement repensé.  Il s’agit d’une version plus graphique qui doit permettre aux utilisateurs une navigation plus facile par « trend » catégories  grâce à la mise en place d’un graphe d’intérêt. Par opposition au graphe social qui mise sur les recommandations de vos amis – amis qui n’ont pas forcément les mêmes goûts ou centres d’intérêt que vous – le graphe d’intérêt repose sur les personnes qui partagent les mêmes goûts ou les mêmes centres d’intérêt. Ces personnes peuvent être des parfaits inconnus, mais ils peuvent vous aider à dénicher le contenu qui correspond à vos attentes.

« C’est bien là le but : après le partage sur Scoop.it, nous voulons aussi que les internautes puissent facilement retrouver les contenus qui les intéressent.  Et ce, en fonction de leurs passions et de leurs intérêts qui varient suivant chaque internaute» selon Marc Rougier, co-fondateur de Scoop.it.

Scoop.it sortie de Béta fin 2011 compte maintenant plus de 3M de VU mensuels. Le français ayant surfé sur le buzzword « curation » apparu fin 2011 s’attaque à un marché  sur lequel des acteurs américains tels que Tumblr ou Pinterest sont déjà bien en place. A une différence près, Scoop.it se focalise sur une cible de personnes « expertes » et « qualifiées » : les bloggueurs furent d’ailleurs les premiers early-adopters du service.

Actualité Facebook stories – dévoilé encore plus votre intimité avec Facebook stories – la farce mondiale continue…

Facebook, qui n’en fini pas de descendre en bourse avec une action qui flirte avec les 20 $, vient d’annoncer une nouvelle application qui dispose de son propre site : Facebookstories.com. Pour rappel, il y a deux ans quasiment jour pour jour, Mark Zuckerberg en personne dévoilait déjà… Facebook Stories.

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facebook stories

En effet, c’est fin juillet 2010 que le jeune PDG du réseau social qui revendique actuellement 950 millions de membres présentait cette application qui vous permettait de partager vos histoires ainsi que de lire celles des autres membres. Cette dernière n’est aujourd’hui plus disponible etson URL se contente de nous retourner un « Not Found » (non trouvé), sans qu’aucune explication supplémentaire ne soit donnée.

Aujourd’hui, le nouveau Facebook Stories repose plus ou moins sur le même principe, en reprenant les histoires « extraordinaires » de ses membres et en les publiant cette fois-ci sur un site dédié. Chaque mois, un thème différent sera abordé avec, pour commencer, des histoires autour de vos souvenirs. Nous avons par exemple droit à celle de Mayank Sharma, un jeune indien de 29 ans qui a perdu la mémoire suite à une méningite, et qui nous raconte comment il se sert de Facebook pour redécouvrir ses amis.

Bien évidemment, vous pouvez soumettre votre propre histoire à Facebook qui décidera ou pas de la mettre ensuite en ligne. En plus de votre texte, il est possible de taguer vos amis, reste à voir si le nom de ces derniers apparaitra dans la publication, ce que certains pourraient ne pas vraiment apprécier.

Quoi qu’il en soit, on se demande bien pourquoi Facebook a décidé de relancer ses histoires, plutôt que de simplement les présenter comme une mise à jour. Peut-être un moyen de répondre à Twitter qui a lancé son propre service en novembre de l’année dernière ?

 le 3 août 2012 à 09:18 (9 116 lectures)